Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle)
Autrefois adjointe au palais des comtes d’Auvergne, la Sainte-Chapelle de Vic-le-Comte, classée aux Monuments Historiques sur la liste de 1840 (base POP), fut fondée entre 1520 et 1529 sous l’impulsion de John Stuart († 1536), comte d’Auvergne et duc d’Albany, et de son épouse, Anne de la Tour d’Auvergne († 1524) (Vissière 2015, p. 125). L’autorisation de fonder cette Sainte-Chapelle, placée sous les vocables conjoints de la Sainte Couronne et de saint Jean-Baptiste, afin d’accueillir une Sainte Épine et un fragment de la Vraie Croix, fut accordée par le pape Léon X par une bulle datée du 21 juin 1520 (Coombs 2018, p. 176). L’édifice – le dernier de ce type construit dans le royaume – est alors érigé sur l’emplacement d’une ancienne chapelle castrale, dont l’existence est attestée dès 1371 par le règlement des messes ordonné par le comte Jean Ier (Fouilhoux 1898, p. 242-245), ainsi que par des vestiges d’architecture romane encore visibles.
Représentée avec imprecision dans un recueil daté des années 1518-1519 (La Haye, Koninklijke Bibliotheek, ms. KW 74 G 11, f. 55v), la Sainte-Chapelle, qui constitue l’actuel chœur de l’église paroissiale agrandie à la fin du XIXe siècle, est composée d’une nef unique de 18 mètres de long sur 9 mètres de large, articulée en quatre travées et fermée par un chœur orienté à trois pans. Une corniche sculptée, d’un style similaire à celle de la Sainte-Chapelle d’Aigueperse, s’étend sur le pourtour extérieur de la chapelle. Elle est ornée d’animaux fantastiques et de végétaux parmi lesquels certains ont été identifiés comme ayant une nature emblématique (Coombs 2018, p. 179) : la salamandre, devise de François Ier ; la licorne, devise des Stuart ; le chardon, autre devise de cette famille, également abondamment employée par les ducs de Bourbon (base Devise) (et dont le double sens emblématique n’échappait certainement pas aux habitants de la région à cette période). À l’intérieur de la chapelle, les références emblématiques et héraldiques se font plus certaines.
Clé de voûte aux armes de Marie Ière d’Auvergne. Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle), oratoire lateral.
Deux oratoires comtaux sont situés dans la partie haute de la chapelle, autrefois directement accessible depuis les appartements ducaux, situés au premier étage du château (Coombs 2018, p. 177). Leurs clés de voûte sont ornées d’écussons armoriés qui, se démarquant du reste du décor Renaissance de la Sainte-Chapelle par leur style plus ancien et leur traitement sculptural plus maladroit, constituent de toute évidence des vestiges des oratoires de la première chapelle castrale. La clé de voûte de l’oratoire sud, du côté de l’épitre, porte un écu aux pleines armes des comtes d’Auvergne, inscrit dans une rosace à huit pointe (armoirie 1), pouvant être attribué à Marie Ière d’Auvergne. L’identification est en effet confirmée par la présence des armes écartelées des La Tour et des comtes d’Auvergne portées par Bertrand IV de la Tour, que Marie épouse en 1389, à la clé de voûte de l’oratoire nord, côté de l’évangile, insérées dans un cadre quadrilobé (armoirie 2). L’attribution des armoiries en question au couple est en outre renforcée par la datation d’une partie du vitrail quadrilobé de l’oratoire sud, estimée aux alentours de 1400 (Gatouillat, Hérold 2011, p. 183).
Console aux armes du duc John Stuart. Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle).
La tribune de la chapelle date quant à elle de la campagne de travaux amorcée par John Stuart et Anne de La Tour d’Auvergne au début des années 1520. Elle est ornée de dix-neuf écussons, visiblement arasés à l’époque révolutionnaire, aux pleines armes du duc John (armoiries 3a-j) (base Bibale) et aux armes parties de la duchesse Anne (armoiries 4a-i), distribués – de manière assez surprenante par rapport à la cohérence méticuleuse du reste du décor – sans logique apparente selon la séquence A/B/B/B/A/B/A/B/A/A/B/A/B/A/B/A/B/A/A (A pour le duc, B pour la duchesse). Par ailleurs, tous les écus de la tribune sont couronnés et cerclés du collier de l’ordre de saint Michel, bien que celui-ci soit exclusivement réservé aux hommes. Un livre réalisé pour la duchesse Anne, où les armes de celle-ci sont également représentées cerclées de l’ordre (Paris, BnF, ms. Fr. 20209, f. 68v), confirme toutefois l’existence d’une autre occurrence de cette combinaison et permet de rejeter l’hypothèse d’une erreur de la part du sculpteur de la tribune. Un cas similaire et presque contemporain est d’ailleurs documenté dans le cloître du prieuré de Souvigny, où les armoiries mi-parties de la reine Anne de Bretagne sont également cerclées de l’ordre de chevalerie royal. Bien que les exemples soient rares, il semble donc que le droit de porter le collier d’ordre ait exceptionnellement été étendu aux armoiries féminines à cette période.
Ecu couronné aux armes d’Anne de la Tour d’Auvergne. Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle).
Une autre « anomalie » est à signaler sur les armoiries de la duchesse Anne : bien que leur état actuel en rende la lecture difficile, un examen attentif des écussons permet de constater que le quartier aux armes des La Tour est représenté par un simple semé de fleurs de lis, sans faire figurer de tour. Cette absence, qui pourrait être erronément attribuée à une erreur du sculpteur ou à la perte d’une couche picturale, s’explique par la politique de valorisation héraldique mise en place par le grand-père d’Anne, le comte Bertrand VII d’Auvergne, qui dissimulait déjà le meuble parlant des La Tour au sein même des fleurs de lis, comme en atteste le relevé de son tombeau à l’abbaye de Bouchet (Baluze 1708, t. 1, pl. entre les p. 342 et 343), ainsi que son contre-sceau (base SIGILLA). Cette pratique est encore exagérée par le comte Jean IV d’Auvergne, qui efface presque complètement la tour sur le triptyque de Vic-Le-Comte (Wikimédia). Cette dissimulation progressive de la tour au profit du semé de lis, plus valorisant puisque rappelant les pleines armes royales, permettait ainsi de manifester la progressive ascension de cette famille dans la hiérarchie nobiliaire du royaume.
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle), retable du maitre autel aux armes de John Stuart (3k-m), Anne de La Tour d’Auvergne (4j-k) et de France (5).
Les armoiries du couple ducal sont également sculptées en alternance au-dessus de chaque pilastre du niveau inférieur du retable, entre les statues des Vertus cardinales et théologales (armoiries 3k-3m, 4j-k). Le tympan de celui-ci est également orné des armoiries arasées du roi de France, timbrées d’une couronne fleurdelisée, soutenues par des anges et cerclées du collier de l’ordre de saint Michel (armoirie 5). La présence des armoiries du roi dans le décor de cette Sainte-Chapelle, surplombant celles du duc et de la duchesse dans le respect d’un ordre hiérarchique évident, s’inscrit de manière cohérente dans la politique monumentale de François Ier qui, à la même période, avait également investi le décor héraldique de la Sainte-Chapelle de Bourbon-L’Archambault.
Deux autres écussons sont représentés sur le vitrail axial de la chapelle, qui fut détruit par une tempête en 1793, puis restauré par Félix Gaudin en 1891 d’après une maquette réalisée par Eugène Grasset (Gatouillat, Hérold 2011, p.180-182) en se basant sur des descriptions et relevés du programme originel (Luneau 1995, p. 19 ; Dulaure 1789, p. 408). En conformité avec l’iconographie du vitrail perdu, la partie inférieure des deux lancettes latérales montre aujourd’hui le duc John et la duchesse Anne, agenouillés devant des prie-Dieu à leurs armes (armoiries 3n, 4l) et présentés par leurs saints patrons respectifs, saint Jean l’Évangéliste et sainte Anne. Bien que ce détail ait été omis lors de la restauration, une gravure antérieure à la destruction du vitrail (Baluze 1708, t. 1, pl. entre les p. 358 et 359) atteste que le duc était autrefois représenté portant le collier de l’ordre saint Michel autour du cou (Baluze 1708, p. 358 bis).
Vitrail avec les portraits de John Stuart et Anne de La Tour d’Auvergne dans la Sainte-Chapelle de Vic-le-Comte, dans Baluze 1708, t. 1, pl. entre les p. 358 et 359.
Il est également signifiant de noter que le duc est représenté du côté de l’évangile et la duchesse du côté de l’épitre, conformément à l’emplacement de leurs oratoires respectifs, qui se caractérisent par une disposition inverse à celle adoptée dans les autres saintes chapelles, où le côté de l’épitre est habituellement laissé à l’homme (comme dans la Sainte-Chapelle de Vincennes, la Sainte-Chapelle de Riom ou la Sainte-Chapelle d’Aigueperse). En outre, nous noterons que, contrairement aux autres saintes chapelles, le décor sculpté et les verrières de la chapelle de Vic-le-Comte ne sont pas le support de généalogies armoriées, que nous retrouvons en revanche dans les verrières du palais attenant. Dans les deux oratoires, les armoiries du duc et de la duchesse jouaient cependant déjà un rôle d’exaltation dynastique, se présentant sous la forme de complexes compositions écartelées qui multipliaient les références lignagères.
Un deuxième relevé publié par Baluze au début du XVIIIe siècle atteste de l’existence d’un dernier écusson parti aux armes du duc et de la duchesse, toujours couronné et cerclé de l’ordre royal (Baluze 1708, pl. entre les p. 357 et 358) (armoirie 4m). Sculpté sur la porte de la sacristie, il fut détruit lors des épisodes iconoclastes de la Révolution (Fouilhoux 1898, p. 276).
Bénitier fleurdelisé, Vic-le-Comte, Palais des comtes. d’Auvergne (Sainte-Chapelle).
D’autres éléments complétaient la mise en signe de la chapelle. Un bénitier en pierre, orné de fleurs de lis, est toujours présent à l’entrée de l’église. Si la typologie des fleurs permet raisonnablement d’exclure une commande sous le règne de John Stuart et d’Anne de la Tour d’Auvergne, elle ne permet malheureusement pas d’affiner la datation ou l’attribution de ce décor qui pourrait aussi bien faire écho au semé de fleurs de lis des armes des La Tour d’Auvergne qu’aux armoiries de Jean de Berry, qui épousa la comtesse Jeanne II d’Auvergne en 1389 (et dont le mécénat à Vic-le-Comte était autrefois attesté par la présence de ses armoiries sur l’une des cheminées du palais comtal). Nous ne devons en outre pas oublier que la fleur de lis est également un symbole marial dont la présence se justifie aisément sur un bénitier, sans nécessaire référence à l’emblématique d’une famille en particulier. Les armes de Bertrand VI de la Tour d’Auvergne figuraient en revanche sur un reliquaire hexagonal soutenu par deux statues d’anges, dont l’existence est documentée par un relevé du début du XVIIIe siècle (Baluze 1708, p. 331) et de nombreuses mentions dans les procès-verbaux de visites pastorales dans la paroisse. Encore mentionné comme part du trésor de la Sainte-Chapelle en 1789 (Dulaure 1789, p. 409), il disparait par la suite, certainement confisqué lors de la Révolution. Le même comte avait également donné quatre chasubles à l’église paroissiale, dont au moins deux d’entre elles étaient ornées aux armes des La Tour d’Auvergne (Baluze 1708, p. 332).
Auteur : Antoine Robin
Pour citer cet article
Antoine Robin, Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle), https://armma.saprat.fr/monument/vic-le-comte-palais-des-comtes-dauvergne-sainte-chapelle/, consulté
le 21/11/2024.
Bibliographie sources
Paris, BnF, ms. Fr. 20209, Généalogie fabuleuse d’Anne de La Tour, comtesse de Boulogne, femme de Jean Stuart, duc d’Albany.
La Haye, Koninklijke Bibliotheek, ms. KW 74 G 11, Généalogie de Madame Anne de la Tour, princesse de l’Écosse.
Bibliographie études
Baluze Étienne, Histoire généalogique de la maison d’Auvergne justifiée par chartes, titres, histoires anciennes & autres preuves authentiques, t. 1, Paris 1708.
Coombs Bryony, « The Artistic Patronage of John Stuart, Duke of Albany, 1520-1530 : Vic-le-Comte, the Last Sainte-Chapelle », Proceedings of the Society of Antiquaries of Scotland, t. 147, 2018, p. 175–217.
Dulaure Jacques-Antoine, Description des principaux lieux de France, t. 5, Paris 1789.
Gatouillat Françoise, Herold Michel, Les vitraux d’Auvergne et du Limousin, Rennes 2011.
Luneau Jean-François, « Les vitraux de la Sainte-Chapelle de Vic-le-Comte : un programme typologique original » Revue de l’Art, 107, 1995, p. 17-26.
Vissière Laurent, « L’érection des Saintes-Chapelles dans la France des XIVe et XVe siècles », dans É. Crouzet-Pavan, J.-C. Maire-Vigueur (dir.), L’art au service du prince. Paradigme italien, expériences européennes (vers 1250-vers 1500), actes du colloque (Paris 2013), Rome 2015, p. 115-139.
Photographies du monument
Armoiries répertoriées dans ce monument
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Marie Ière d’Auvergne (armoirie 1)
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Bertrand IV de La Tour (armoirie 2)
Écartelé : au 1 et 4, d’azur à la tour d’argent maçonnée de sable, accostée d’une fleur de lis d’or (La Tour) ; au 2 et 3, d’or, au gonfanon de gueules (frangé de sinople) (Auvergne).
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie John Stuart (armoirie 3a)
Écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce).
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie John Stuart (armoirie 3b)
Écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce).
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie John Stuart (armoirie 3c)
Écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce).
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie John Stuart (armoirie 3d)
Écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce).
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie John Stuart (armoirie 3e)
Écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce).
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie John Stuart (armoirie 3f)
Écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce).
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie John Stuart (armoirie 3g)
Écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce).
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie John Stuart (armoirie 3h)
Écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce).
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie John Stuart (armoirie 3i)
Écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce).
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie John Stuart (armoirie 3k)
Écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce).
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie John Stuart (armoirie 3l)
Écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce).
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie John Stuart (armoirie 3m)
Écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce).
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie John Stuart (armoirie 3n)
Écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce).
Attribution : Stuart John ; Armoirie perdue
Position : Intérieur
Pièce / Partie de l'édifice : Chœur
Emplacement précis : Baie d'axe
Support armorié : Verrière
Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Anne de la Tour d’Auvergne (armoirie 4a)
Parti : au 1, écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce) ; au 2, écartelé : au 1 et 4, d’(azur), semé de fleur de lis (d’or) (La Tour d’Auvergne) ; au 2 et 3, d’(or), au gonfanon de gueules frangé de (sinople) (Auvergne) ; à un écusson d’(or à trois tourteaux de gueules ?) en abîme (Boulogne).
Collier d’ordre : (ordre de saint Michel).
Attribution : La Tour d'Auvergne Anne de ; Armoirie bûchée
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Anne de la Tour d’Auvergne (armoirie 4b)
Parti : au 1, écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce) ; au 2, écartelé : au 1 et 4, d’(azur), semé de fleur de lis (d’or) (La Tour d’Auvergne) ; au 2 et 3, d’(or), au gonfanon de gueules frangé de (sinople) (Auvergne) ; à un écusson d’(or à trois tourteaux de gueules ?) en abîme (Boulogne).
Collier d’ordre : (ordre de saint Michel).
Attribution : La Tour d'Auvergne Anne de ; Armoirie bûchée
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Anne de la Tour d’Auvergne (armoirie 4c)
Parti : au 1, écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce) ; au 2, écartelé : au 1 et 4, d’(azur), semé de fleur de lis (d’or) (La Tour d’Auvergne) ; au 2 et 3, d’(or), au gonfanon de gueules frangé de (sinople) (Auvergne) ; à un écusson d’(or à trois tourteaux de gueules ?) en abîme (Boulogne).
Collier d’ordre : (ordre de saint Michel).
Attribution : La Tour d'Auvergne Anne de ; Armoirie bûchée
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Anne de la Tour d’Auvergne (armoirie 4d)
Parti : au 1, écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce) ; au 2, écartelé : au 1 et 4, d’(azur), semé de fleur de lis (d’or) (La Tour d’Auvergne) ; au 2 et 3, d’(or), au gonfanon de gueules frangé de (sinople) (Auvergne) ; à un écusson d’(or à trois tourteaux de gueules ?) en abîme (Boulogne).
Collier d’ordre : ordre de saint Michel.
Attribution : La Tour d'Auvergne Anne de ; Armoirie bûchée
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Anne de la Tour d’Auvergne (armoirie 4e)
Parti : au 1, écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce) ; au 2, écartelé : au 1 et 4, d’(azur), semé de fleur de lis (d’or) (La Tour d’Auvergne) ; au 2 et 3, d’(or), au gonfanon de gueules frangé de (sinople) (Auvergne) ; à un écusson d’(or à trois tourteaux de gueules ?) en abîme (Boulogne).
Collier d’ordre : ordre de saint Michel.
Attribution : La Tour d'Auvergne Anne de ; Armoirie bûchée
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Anne de la Tour d’Auvergne (armoirie 4f)
Parti : au 1, écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce) ; au 2, écartelé : au 1 et 4, d’(azur), semé de fleur de lis (d’or) (à la tour d’argent maçonnée de sable ?) (La Tour d’Auvergne) ; au 2 et 3, d’(or), au gonfanon de gueules frangé de (sinople) (Auvergne) ; à un écusson d’(or à trois tourteaux de gueules ?) en abîme (Boulogne).
Collier d’ordre : (ordre de saint Michel).
Attribution : La Tour d'Auvergne Anne de ; Armoirie bûchée
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Anne de la Tour d’Auvergne (armoirie 4g)
Parti : au 1, écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce) ; au 2, écartelé : au 1 et 4, d’(azur), semé de fleur de lis (d’or) (La Tour d’Auvergne) ; au 2 et 3, d’(or), au gonfanon de gueules frangé de (sinople) (Auvergne) ; à un écusson d’(or à trois tourteaux de gueules ?) en abîme (Boulogne).
Collier d’ordre : ordre de saint Michel.
Attribution : La Tour d'Auvergne Anne de ; Armoirie bûchée
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Anne de la Tour d’Auvergne (armoirie 4h)
Parti : au 1, écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce) ; au 2, écartelé : au 1 et 4, d’(azur), semé de fleur de lis (d’or) (La Tour d’Auvergne) ; au 2 et 3, d’(or), au gonfanon de gueules frangé de (sinople) (Auvergne) ; à un écusson d’(or à trois tourteaux de gueules ?) en abîme (Boulogne).
Collier d’ordre : ordre de saint Michel.
Attribution : La Tour d'Auvergne Anne de ; Armoirie bûchée
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Anne de la Tour d’Auvergne (armoirie 4i)
Parti : au 1, écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce) ; au 2, écartelé : au 1 et 4, d’(azur), semé de fleur de lis (d’or) (La Tour d’Auvergne) ; au 2 et 3, d’(or), au gonfanon de gueules frangé de (sinople) (Auvergne) ; à un écusson d’(or à trois tourteaux de gueules ?) en abîme (Boulogne).
Collier d’ordre : (ordre de saint Michel).
Attribution : La Tour d'Auvergne Anne de ; Armoirie bûchée
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Anne de la Tour d’Auvergne (armoirie 4j)
Parti : au 1, écartelé : au 1, (d’or au lion rampant de gueules enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné du même) (Ecosse) ; au 2, (de gueules au lion rampant d’argent, à la bordure du même, chargée de huit roses de gueules) (Dunbar) ; au 3, (de gueules à un triquètre armé d’argent aux liserés, éperons et genouillères d’or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules, au chef du même) (Bruce) ; au 2, écartelé : au 1 et 4, d’(azur), semé de fleur de lis (d’or) (à la tour d’argent maçonnée de sable ?) (La Tour d’Auvergne) ; au 2 et 3, d’(or, au gonfanon de gueules frangé de sinople) (Auvergne) ; (à un écusson d’or à trois tourteaux de gueules ?) en abîme (Boulogne).
Collier d’ordre : ordre de saint Michel.
Attribution : La Tour d'Auvergne Anne de ; Armoirie bûchée
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Anne de la Tour d’Auvergne (armoirie 4k)
Parti : au 1, écartelé : au 1, d’(or au lion rampant de gueules enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules au lion rampant d’argent, à la bordure du même, chargée de huit roses de gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules à un triquètre armé d’argent aux liserés, éperons et genouillères d’or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or au sautoir de gueules, au chef du même) (Bruce) ; au 2, écartelé : au 1 et 4, d’(azur), semé de fleur de lis (d’or) (à la tour d’argent maçonnée de sable ?) (La Tour d’Auvergne) ; au 2 et 3, d’(or), au gonfanon de (gueules frangé de sinople) (Auvergne) ; (à un écusson d’or à trois tourteaux de gueules ?) en abîme (Boulogne).
Collier d’ordre : ordre de saint Michel.
Attribution : La Tour d'Auvergne Anne de ; Armoirie bûchée
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Anne de la Tour d’Auvergne (armoirie 4l)
Parti : au 1, écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce) ; au 2, écartelé : au 1 et 4, d’(azur), semé de fleur de lis (d’or) à la tour d’(argent maçonnée de sable) (La Tour d’Auvergne) ; au 2 et 3, d’(or), au gonfanon de gueules frangé de (sinople) (Auvergne) ; à un écusson d’(or) à trois tourteaux de (gueules) en abîme (Boulogne).
Attribution : La Tour d'Auvergne Anne de ; Armoirie perdue ; Armoirie restaurée
Position : Intérieur
Pièce / Partie de l'édifice : Chœur
Emplacement précis : Baie d'axe
Support armorié : Verrière
Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
Vic-le-Comte, Palais des comtes d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Anne de la Tour d’Auvergne (armoirie 4m)
Parti : au 1, écartelé : au 1, d’(or) au lion rampant de (gueules) enclos dans un double trescheur fleuronné et contre fleuronné (du même) (Ecosse) ; au 2, de (gueules) au lion rampant d’(argent), à la bordure (du même) chargée de huit roses de (gueules) (Dunbar) ; au 3, de (gueules) à un triquètre armé d’(argent) aux liserés, éperons et genouillères d’(or) (royaume de Mann) ; au 4, d’(or) au sautoir de (gueules), au chef (du même) (Bruce) ; au 2, écartelé : au 1 et 4, d’(azur), semé de fleur de lis (d’or) à la tour d’(argent maçonnée de sable) (La Tour d’Auvergne) ; au 2 et 3, d’(or), au gonfanon de gueules frangé de (sinople) (Auvergne) ; à un écusson d’(or) à trois tourteaux de (gueules) en abîme (Boulogne).
Collier d’ordre : ordre de saint Michel.
Attribution : La Tour d'Auvergne Anne de ; Armoirie perdue
Timbre : Une couronne
Position : Intérieur
Pièce / Partie de l'édifice : Sacristie
Emplacement précis : Porte
Support armorié : Inconnu
Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
