ArmmA

ARmorial Monumental du Moyen-Âge
Afficher la recherche

Rechercher dans le site

Recherche héraldique

Riom, Palais des ducs d’Auvergne (Sainte-Chapelle)

 

Inscrite aux Monuments Historiques sur la liste de 1840 (base POP), la Sainte-Chapelle de Riom constitue l’unique vestige restant de l’ancien palais ducal de la ville, lui-même érigé sur l’emplacement d’une première forteresse bâtie pour Alphonse de Poitiers entre 1241 et 1271 (Kurmann-Schwarz 2003, p. 339). Ce premier château alphonsin fut modifié sous Jean de Berry († 1416), troisième fils du roi Jean II, qui reçut de celui-ci les terres apanagées de Berry (1360), d’Auvergne (1360) et de Poitou (1372) (Favreau 2002, p. 1128).

Tout comme à Bourges et Poitiers, centres politiques respectifs de ses possessions berrichonnes et poitevines, le duc Jean fait ériger un nouveau palais à Riom, dont il fait le centre de son pouvoir auvergnat (Whiteley 2003, p. 333). Les travaux, bien documentés par les comptes, démarrent dès 1382 (Teyssot 1999, p. 356) et l’érection de la chapelle palatiale semble avoir été envisagée dès le début du chantier (Kurmann-Schwarz 2003, p. 339). Sa construction, qui ne commence qu’à partir de 1395 sous la direction du maître d’œuvre Guy de Dammartin (également en charge des chantiers du palais de Bourges et du château de Poitiers), semble s’achever en 1403, comme l’analyse dendrochronologique de la toiture a pu l’établir (ibid.). L’édifice n’obtient cependant le statut de Sainte-Chapelle que près d’un siècle plus tard, à partir des années 1480 (Vissière 2022, p. 332), alors que le duché d’Auvergne et le palais sont aux mains des ducs de Bourbons. Son chapitre collégial – bien que probablement déjà envisagé du temps de Charles Ier de Bourbon († 1456) – ne voit le jour qu’en 1491 (Whiteley 2003, p. 337), sous le principat du duc Pierre II († 1503).

Riom, Sainte-Chapelle, clefs de voûte aux armes de Jean de Berry (photo : A. Robin).

Exceptionnellement non-orientée (l’abside est au sud), la Sainte-Chapelle de Riom est composée d’une nef unique de quatre travées se terminant par une abside à trois pans. Comme à la Sainte-Chapelle d’Aigueperse, la dernière travée est flanquée de deux oratoires, destinés au couple princier. Les clefs de voûtes de la nef, sculptées en pierre de Volvic, datent de la période de construction de l’édifice. Au nombre de neuf et s’étalant sur toute la longueur du vaisseau, elles alternent décors historiés et armoriés. On y lit encore, en partant de la clef la plus éloignée du chœur jusqu’à celle de l’abside : une première clef aux armes de Jean de Berry (armoirie 1a) ; un saint Jacques ; les armes de Berry (armoirie 1b) ; un saint André ; les armes de Berry (armoirie 1c) ; un saint Paul ; une clef aux armes de Berry, dont la polychromie est tardive comme celle de l’ensemble de l’édifice (armoirie 1d) ; un saint Pierre ; et une dernière clef, dans l’abside, représentant un Salvator Mundi. Ces clefs armoriées ont deux particularités. Tout d’abord, les fleurs de lis, disposées en croix, sont au nombre inusuel de quatre (comme on les retrouve dans d’autres clefs aux armes du duc sculptées dans la chapelle : armoiries 1e, 2).

Riom, Sainte-Chapelle, clefs de voûte des oratoires latéraux aux armes de Jean de Berry et de Jeanne II d’Auvergne (photo : A. Robin).

En effet, si Jean de Berry est l’un des premiers princes à suivre le modèle royal lorsque le roi Charles V passe du semé de fleur de lis au modèle trinitaire (Prinet 1911, p. 469-488) et que ses sceaux documentent l’introduction de l’usage des armes à trois lis dès 1371 (base SIGILLA), le duc continua néanmoins d’employer le semé et de faire varier le nombre de fleurs dans ses armoiries jusqu’à la fin de sa vie (comme sur son sceau de secret de 1393 où ses armes présentent six lis : base SIGILLA). La version à quatre lis des clefs de voute correspond donc vraisemblablement à une forme transitoire entre le semé et le modèle trinitaire, peu surprenante dans l’emblématique très expérimentale du duc. Celui-ci s’affranchit en outre d’un autre topos héraldique : la forme du support armorié. En effet, les armoiries des clefs de voutes, habituellement intégrées à des supports scutiformes, sont ici représentées dans un format circulaire, occupant l’intégralité de la clef. Cette forme héraldique peu traditionnelle semble pourtant avoir été employée fréquemment par Jean de Berry, et est documentée sur de nombreux supports, comme nous pouvons le voir, par exemple, sur une enluminure des Très Riches Heures (Chantilly, Bibliothèque et archives du château, ms. 65, f. 1v), sur les harnais de l’ours représenté sur le tombeau du duc, aujourd’hui dans la crypte de la cathédrale de Bourges, ou, encore, sur son sceau du secret de 1410 (base SIGILLA).

Charles Ier de Bourbon accompagné de saint Louis. Riom, Sainte-Chapelle, vitrail de la baie d’axe (photo : A. Robin).

Deux autres clefs de voutes armoriées ornent les croisées des oratoires latéraux de la chapelle. Celui de droite (ici à l’ouest), conventionnellement destiné au duc, présente les armes de Berry (armoirie 1e), toujours dans la forme à quatre fleurs de lis, tandis que la clef de l’oratoire de gauche, aux armes mi-parties de Berry et d’Auvergne (armoirie 2), identifie l’espace dédié à Jeanne II d’Auvergne († 1424), que le duc épouse en secondes noces en 1390.

En revanche, les vitraux de la Sainte-Chapelle, victimes de nombreux remaniements et de plusieurs épisodes iconoclastes au fil des siècles, ne nous livrent plus aujourd’hui que de maigres informations sur le riche ensemble que devaient abriter les baies autrefois. Il ne reste en effet plus rien des vitraux originels de la chapelle, réalisés du temps de Jean de Berry, peut-être déjà armoriés (Kurmann-Schwarz 2003, p. 342), et déjà remplacés dans les années 1450-1460 sous le mécénat de Charles Ier de Bourbon et d’Agnès de Bourgogne. Ce second ensemble n’est d’ailleurs conservé que de manière très incomplète : seule une moindre partie des vitraux qui le formait a survécu et ceux-ci furent réunis postérieurement dans les baies du chœur et restaurés partiellement dans les années 1853-1856 par l’atelier Thévenot (ibid.). Nous pouvons tout de même voir que, comme dans la Sainte-Chapelle de Bourbon-L’Archambault, le culte de saint Louis sert de prétexte à la mise en scène du semé de lis de France (sans la brisure dynastique des Bourbons) et à rappeler ainsi le lien de filiation entre les ducs et le sang royal. Nous pouvons ainsi voir les armes du roi ornant la tenue de saint Louis, accompagnant le duc Charles Ier de Bourbon sur le vitrail axial (armoirie 3a) ; ainsi que dans le champ des trois quadrilobes sommitaux de la lancette surplombant l’oratoire de la duchesse, représentant un cycle hagiographique de la vie du roi saint (armoirie 3b). Les fleurs de lis des armoiries royales sont également visibles sur les étendards des navires représentés dans les quadrilobes inférieurs.

Scène de la vie de saint Louis. Riom, Sainte-Chapelle, détail d’une lancette.

Le discours de filiation à saint Louis de ce décor était en outre vraisemblablement renforcé par la présence d’un cycle de vitraux généalogiques armoriés, dont l’existence est documentée dans de nombreuses autres saintes chapelles (à Bourbon-L’Archamabault, Thouars ou Champigny-sur-Veude par exemple). Les dessins à grandeur d’Etienne Thévenot, réalisés avant restauration, montrent en effet des anges dans une attitude de porteurs que Brigitte Kurmann-Schwarz associe à celles de supports héraldiques, semblables à ceux des vitraux de la chapelle Vendôme de la cathédrale de Chartres. Elle postule ainsi de l’existence d’un double cycle généalogique représentant, au deux registres inférieurs, les armoiries des ducs et duchesses, et au niveau médian, leurs portraits au naturel (Kurmann-Schwarz 2001, p. 141). Le rapport de Thévenot indique également que le troisième niveau des verrières comportait des choux, des anges, des clochetons et des chardons (Méténier 2006, p. 132). Cette dernière fleur, d’abord employée comme devise par la maison de Bourgogne, apparait dans l’emblématique des Bourbons dès le principat de Charles Ier (base DEVISE).

Le chiffre EV de Jean de Berry : à gauche, détail du tombeau du duc à Bourges ; à droite, détail des Très Riches Heures de Jean de Berry, f. 14v (Chantilly, Bibliothèque et archives du château. ms. 65).

Enfin, un dernier ensemble de décor est à signaler dans l’annexe, au nord-ouest de la chapelle, s’élevant sur trois niveaux par un escalier en vis, et ayant peut-être servi de trésor à l’édifice. Le dernier niveau servait vraisemblablement d’oratoire au duc de Berry, dont le monogramme, « EV », figure encore aujourd’hui sur la clef de voute. Bien que souvent identifié à tort comme un monogramme marial (« AM », pour Ave Maria), cet emblème correspond parfaitement aux autres représentations connues du chiffre ducal (sur le tombeau du duc ou dans les Très Riches Heures du Duc de Berry, par exemple) et peut donc être associé avec certitude à l’emblématique de Jean de Berry. Un texte de 1916 décrit en outre la présence de la devise « le tems venra » (Gauchery 1916, p. 158) sur la clef de voute de l’oratoire. Le monogramme « EV » et la devise « Ursine le temps viendra », connue par d’autres sources (sigillaires par exemple, comme le sceau du secret de 1365-1370 : base SIGILLA), sont en effet fréquemment associés entre elles dans l’emblématique du prince (Hablot 2001, t. Devisier, p. 488 ; Stirnemann, Lebigue 2010, p. 298-304). Ce même texte mentionne par ailleurs la présence des écus perdus de Berry (armoirie 4) et d’Auvergne (armoirie 5) sur le manteau de la cheminée de cet oratoire (Gauchery 1916, p. 158), donnant de nouveau l’alliance entre le duc Jean et sa seconde épouse.

Riom, Sainte-Chapelle, cheminée de l’oratoire supérieur jadis aux armes de Berry et d’Auvergne (© base Merimée).

Les restes de polychromie des éléments architecturaux de la chapelle (bleu, jaune, rouge) dateraient quant à eux de la campagne de restauration des années 1850 (Kurmann-Schwarz 2003, p. 340). A défaut de sources documentaires ou de photographies anciennes de l’édifice, nous pouvons seulement imaginer que ces couleurs, reprenant les trois teintes héraldiques des ducs de Bourbon et de Berry, ont été restaurées sur la base de vestiges médiévaux.

Auteur : Antoine Robin

Pour citer cet article

Antoine Robin, Riom, Palais des ducs d’Auvergne (Sainte-Chapelle), https://armma.saprat.fr/monument/riom-palais-des-ducs-dauvergne-sainte-chapelle/, consulté le 10/11/2024.

 

Bibliographie études

Favreau Robert, « Poitou », dans Dictionnaire du Moyen-Âge, Paris 2002.

Gauchery M.P., « Riom », dans Congrès archéologique de France, LXXXe session, Paris 1916, p. 144-173.

Hablot Laurent, La devise, mise en signe du prince, mise en scène du pouvoir, thèse de doctorat en histoire, dir. M. Pastoureau, M. Aurell, Université de Poitiers 2001.

Kurmann-Schwarz Brigitte, « La Sainte-Chapelle de Riom et ses vitraux », dans Congrès archéologique de France, CLVIIe session, Basse-Auvergne, Grande Limagne, Paris 2003, p. 339-349.

Kurmann-Schwarz Brigitte, « Les vitraux commandités par les ducs de Bourbon au XVe siècle », dans Le duché de Bourbon : des origines au Connétable, actes du colloque (Moulin 2000), Saint-Pourçain-sur-Sioule 2001, p. 137-144.

Méténier Laetitia, Les saintes chapelles d’Auvergne, mémoire de recherche, Clermont-Ferrand Université Blaise Pascal, 2006.

Prinet Max, « Les variations du nombre des fleurs de lis dans les armes de France », Bulletin Monumental, 75, 1911, p. 469-488.

Stirnemann Patricia, Lebigue Jean-Baptiste, « Jean de Berry, la science et les Très Riches Heures, la devise Le temps venra et le chiffre EV » dans Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France, 2010 (2015), p. 298-304.

Teyssot Josiane, Riom. Capitale et Bonne Ville d’Auvergne. 1212-1557, Nonette 1999.

Vissière Laurent, « Les Saintes-Chapelles des Bourbons (1315-1540) et leurs devises. Exaltation et sanctification d’une lignée », dans M. Metelo de Seixas, L. Hablot, M. Ferrari (dir.), Devises, lettres, chiffres et couleurs : un code emblématique, 1350-1550, Lisbonne 2022, p. 331-342.

Whiteley, Mary « Riom : le palais de Jean, duc de Berry », dans Congrès archéologique de France, CLVIIIe session, Basse-Auvergne, Grande Limagne, Paris 2003, p. 333-337.

Photographies du monument

Armoiries répertoriées dans ce monument

Riom, Palais des ducs d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Jean de Berry (armoirie 1a)

D'(azur) à quatre fleurs de lis d'(or), à la bordure engrêlée de (gueules).

  • Attribution : Berry, Jean de
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Nef
  • Emplacement précis : travée Ière ; Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Relief en pierre
  • Période : 1376-1400 ; 1401-1425
  • Dans le monument : Riom, Palais des ducs d'Auvergne (Sainte-Chapelle)

Riom, Palais des ducs d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Jean de Berry (armoirie 1b)

D'(azur) à quatre fleurs de lis d'(or), à la bordure engrêlée de (gueules).

  • Attribution : Berry, Jean de
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Nef
  • Emplacement précis : travée IIème ; Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Relief en pierre
  • Période : 1376-1400 ; 1401-1425
  • Dans le monument : Riom, Palais des ducs d'Auvergne (Sainte-Chapelle)

Riom, Palais des ducs d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Jean de Berry (armoirie 1c)

D'(azur) à quatre fleurs de lis d'(or), à la bordure engrêlée de (gueules).

  • Attribution : Berry, Jean de
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Nef
  • Emplacement précis : travée IIIème ; Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Relief en pierre
  • Période : 1376-1400 ; 1401-1425
  • Dans le monument : Riom, Palais des ducs d'Auvergne (Sainte-Chapelle)

Riom, Palais des ducs d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Jean de Berry (armoirie 1d)

D’azur à quatre fleurs de lis d’or, à la bordure engrêlée de gueules.

  • Attribution : Armoirie restaurée ; Berry, Jean de
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Nef
  • Emplacement précis : travée IVème ; Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Relief en pierre
  • Période : 1376-1400 ; 1401-1425
  • Dans le monument : Riom, Palais des ducs d'Auvergne (Sainte-Chapelle)

Riom, Palais des ducs d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Jean de Berry (armoirie 1e)

D’azur à quatre fleurs de lys d’or, à la bordure engrêlée de gueules.

  • Attribution : Berry, Jean de
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chapelle
  • Emplacement précis : Coté épître ; Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Relief en pierre
  • Période : 1376-1400 ; 1401-1425
  • Dans le monument : Riom, Palais des ducs d'Auvergne (Sainte-Chapelle)

Riom, Palais des ducs d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Jeanne d’Auvergne (armoirie 2)

Mi-parti : au 1, d’(azur) à quatre fleurs de lis d’(or), à bordure engrêlée de (gueules) (Berry) ; au 2, d’or, au gonfanon de (gueules), frangé de (sinople) (Auvergne).

  • Attribution : Auvergne, Jeanne II de (Jeanne de Boulogne)
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chapelle
  • Emplacement précis : Coté évangile ; Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Relief en pierre peint
  • Période : 1376-1400 ; 1401-1425
  • Dans le monument : Riom, Palais des ducs d'Auvergne (Sainte-Chapelle)

Riom, Palais des ducs d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie roi de France (armoirie 3a)

D’azur, semé de fleurs de lis d’or.

  • Attribution : Louis IX roi ; Roi de France
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Abside
  • Emplacement précis : Baie d'axe
  • Support armorié : Verrière
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Vitrail
  • Période : 1451-1475
  • Dans le monument : Riom, Palais des ducs d'Auvergne (Sainte-Chapelle)

Riom, Palais des ducs d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie roi de France (armoirie 3b)

D’azur, semé de fleurs de lis d’or.

  • Attribution : Louis IX roi ; Roi de France
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Nef
  • Emplacement précis : travée IVème
  • Support armorié : Baie ; Verrière
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Vitrail
  • Période : 1451-1475
  • Dans le monument : Riom, Palais des ducs d'Auvergne (Sainte-Chapelle)

Riom, Palais des ducs d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Jean de Berry (armoirie 4)

(D’azur à quatre ? fleurs de lys d’or, à la bordure engrêlée de gueules).

  • Attribution : Berry, Jean de
  • Position : Intérieur
  • Étage : 3ème étage
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chapelle
  • Emplacement précis : Cheminée
  • Support armorié : Manteau de cheminée
  • Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
  • Technique : Inconnue
  • Période : 1376-1400 ; 1401-1425
  • Dans le monument : Riom, Palais des ducs d'Auvergne (Sainte-Chapelle)

Riom, Palais des ducs d’Auvergne (Sainte-Chapelle). Armoirie Auvergne (armoirie 5)

(D’or, au gonfanon de gueules frangé de sinople).

  • Attribution : Auvergne, Jeanne II de (Jeanne de Boulogne)
  • Position : Intérieur
  • Étage : 3ème étage
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chapelle
  • Emplacement précis : Cheminée
  • Support armorié : Manteau de cheminée
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Inconnue
  • Période : 1376-1400 ; 1401-1425
  • Dans le monument : Riom, Palais des ducs d'Auvergne (Sainte-Chapelle)

Recherche

Menu principal

Haut de page