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ARmorial Monumental du Moyen-Âge
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Troyes, Hôtel Juvénal des Ursins

 

S’il est sans doute l’un des monuments les plus emblématiques de la ville, l’hôtel Juvénal des Ursins constitue un paradoxe. Son excellent état de préservation tout comme le nom de l’illustre famille du XVe siècle (Chassel 2003, p. 60-62) qui est censée l’avoir habitée, y sont pour beaucoup. Cette demeure Renaissance du centre de la cité a bénéficié de plusieurs restaurations commandées par la Ville, propriétaire du bâtiment, entre le début des années 1980 et 2000. L’îlot dans lequel la maison est située a été réhabilité à la fin des années 2010, notamment par la réalisation, à l’arrière de la bâtisse, d’un jardin dans l’esprit Renaissance.

Le bâtiment, classé Monument Historique le 11 août 1932, est constitué d’une construction principale de plan rectangulaire. Une tour d’escalier marque la façade arrière. La façade située côté rue est agrémentée d’une aile en retour à gauche, initialement composée de quatre travées, et d’un oriel placé légèrement en décalage par rapport à l’axe de la lucarne ouvragée des combles qui, selon nous, est d’origine. L’oriel, en trois faces dotées de fenêtres ogivales, et la galerie sont de style Renaissance. La bâtisse est par ailleurs dotée de deux niveaux de caves s’étendant sur la rue Champeaux, le plus bas servant de vide sanitaire, d’une élévation de deux niveaux sous un demi-niveau sous combles. Le travail de la charpente est remarquable.

L’immeuble n’a quasiment pas été modifié depuis le XVIe siècle, hormis les meneaux et les traverses des fenêtres détruits en 1840 (Musso 1993, p. 3). Un cartouche, placé sur la face droite de l’oriel, relate l’histoire du bâtiment (Fichot, Aufauvre  1854, p. 31) : « L’an Ve vingt, cette maison fut faite / De beau bois neuf epuis toute bruslée / Par le grand feu dont Troyes se vit défaite / Et la plupart d’icelle désolée. / Depuis ce temps on la bien consolée / Aussi refaite à neuf en cette sorte /Par bons ouvriers lesquels en cette année / Cinq cens 26 y ont tenu main forte. / Ce fut en lan si que chaqu le notte / Cinq cens 24 le iour 25 de may / Que ce logis par damnabe cohorte / De boute feux fut consome pr vray. / A été relevée et regravée / En l’an 1688 le 17 janvier ». Les informations fournies par l’inscription doivent toutefois être prises avec circonspection. L’observation de l’architecture montre en effet que la galerie et l’oriel ont été ajoutés postérieurement à la construction du corps de bâti principal. Le style de ces ajouts et la nature de la pierre le confirment. Par ailleurs, l’étude de Louis Morin montre que cet îlot échappa de peu au désastre de l’incendie de mai 1524 (Morin 1969) : les destructions se limitèrent sans doute aux bâtiments directement situés le long de l’actuelle rue Champeaux.

Troyes, Hotel Juvénal des Ursins, inscription gravée sur l’oriel du logis.

La date 1526 est visible à la base senestre de l’oriel. Les observateurs s’appuient sur cet élément pour dater l’ensemble de l’immeuble et considérer dès lors qu’il a été reconstruit après l’incendie de 1524. Pour notre part, nous considérons que cette date ne s’applique qu’à la fin des travaux d’adjonction (oriel et galerie).

Armoiries de Jean de La Perreuse et de Marie Anne de Pleurre. Troyes, Hotel Juvénal des Ursins, détail de l’oriel en façade.

La tradition locale associe ce monument à la famille Juvénal (alias Jouvenel) des Ursins. Arnaud signale que le nom des Juvénal est associé à la venue d’Isabeau de Bavière à Troyes en 1420, lorsque la reine y est venue faire approuver les termes du traité qui livra la France aux Anglais. Dans cette occasion, la reine ou les Juvénal auraient logé dans une maison (Arnaud 1837, p. 238-239), dont aucun vestige ne survit dans le bâtiment actuel. Si Arnaud, en 1837, n’associe déjà pas le nom de l’illustre famille à l’hôtel encore visible de nos jours, Amédée Aufauvre n’hésite pas à le faire quelques années plus tard (Fichot, Aufauvre 1854, p. 31). L’appellation Juvénal des Ursins donnée au bâtiment ne s’appuie donc sur aucune certitude, comme le confirme aussi le fait qu’aucune armoirie appartenant à cette famille n’y est visible.

Deux propriétaires d’armoiries sont en effet à identifier : le roi et d’autres familles nullement apparentées aux Juvénal. Nous remarquons tout de même que le décor héraldique et emblématique parait assez sobre pour une résidence de prestige comme celle-ci (voir, pour une comparaison, l’Hôtel Fumé à Poitiers) et que d’autres armoiries, aujourd’hui perdues, pouvaient être représentées à d’autres endroits. Les armoiries visibles de nos jours sont en effet situées dans une seule partie de l’édifice : l’oriel. Celui-ci, comme l’aile en retour, sont des adjonctions postérieures à la première campagne de construction, ce que l’on observe aisément de visu, alors que la lucarne est, selon nous, cohérente avec l’architecture principale.

Oriel de l’hôtel Juvénal des Ursins avant restauration (Arnaud 1837, pl. entre p. 238 et 239).

Les armoiries royales y sont à l’honneur (armoirie 1). Timbrées d’une couronne, elles sont placées face au regard des passants qui circulent dans la rue Champeaux. Le relief aujourd’hui visible est une copie moderne, mais très fidèle de l’original : en 1837, Arnaud signalait en effet la destruction du relief héraldique, tout en donnant toutefois une description et une image qui documente son état fragmentaire (Arnaud 1837, pl. entre p. 238 et 239). La reprise d’un model ancien semble confirmée également par la composition du collier de l’ordre de saint Michel qui encadre l’écu armorié. Celui-ci présente en effet la forme qui prévalait avant sa transformation par François Ier en 1516 (Salet 1990, p. 26 ; Pinoteau 2003, p. 473). C’est à partir de ce moment que des aiguillettes prirent à séparer les coquilles saint Jacques, remplaçant les cordelières que l’on voit dans notre relief. Ce détail nous invite donc à fixer la chronologie de cet ouvrage et de son décor avant 1516. Un deuxième écu aux armes du roi, timbré d’une couronne, était sculpté sur le linteau d’une grande porte, réalisée dans le style de la Renaissance, ouverte au rez-de-chaussée du bâtiment en bois érigé, après l’incendie de 1524, sur la rue Champeaux (Fichot 1884, p. 136) (armoirie 2). Documentée par un dessin d’Arnaud, elle avait déjà disparu au début des années 1880 (ibid., p. 134).

Porte ornée d’un écu aux armes du roi de France. Troyes, Hotel des Ursins (Fichot 1884, p. 134).

Plus discrètes, les autres armoiries sont visibles à dextre de l’oriel, et à l’intérieur, sur les vitraux que l’on peut admirer au premier étage. Sur les panneaux extérieurs de l’oriel (armoiries 3-4), à gauche des armoiries du roi, figurent celles mutilées d’un couple dans lequel il faudra identifier les propriétaires et constructeurs de la résidence. Suivant l’ordre hiérarchique commun dans la composition héraldique nous trouvons à dextre, la place la plus importante, celles de Jean de La Perreuse († avant 1536) (Palasi 2008, num. 1342) et à senestre celles de son épouse (Le Clert 1905, p. 180), Marie Anne de Pleurre (Palasi 2008, num. 2019). Les armoiries sont représentées sur des écussons en forme l’un de chanfrein, l’autre de targe renversée, typiques de la première Renaissance. Ornés de rubans, ils sont reliés par une guirlande qui parte « de la bouche d’un chérubin » (Fichot 1884, p. 131) et donne ainsi l’image de l’union conjugale. Une concession au vocabulaire décoratif du gothique finissant s’observe, en revanche, sur le chapiteau marquant la jonction entre la galerie et le bâtiment principal. On voit un personnage malicieux qui se masturbe et semble vouloir arroser de sa semence (faudra-t-il y voir un symbole de fertilité ?) le visiteur trop attentif à examiner les armoiries du couple sculptées sur l’oriel.

Saint Jean Baptiste présente Jean de La Perreuse. Troyes, Hotel Juvénal des Ursins (Troyes, musées d’Art et d’Histoire).

Les vitraux qui ornent les fenêtres latérales de l’oriel, qui servait d’oratoire privé attenant à la grande chambre du premier étage (Fichot 1884, p. 132), présentent les portraits des époux associés à leurs armoiries respectives (armoiries 5-6). Elles sont représentées sur les prie-Dieu utilisés par les deux personnages. Tournés vers le panneau central figurant la Crucifixion (cernée de dix étoiles en chef-d’œuvre), Jean de La Perreuse et Marie Anne de Pleure sont présentés par leur saint patron respectif – Jean Baptiste pour l’homme, Anne accompagnée de la Vierge Marie pour l’épouse – et chacun d’entre eux est suivi d’un enfant, alors que la généalogie ne retient qu’une fille, Catherine. Nous remarquerons que sur le vitrail, Anne de Pleurre associe, dans un écu en losange, les armes de son mari aux siennes propres (armoirie 6), ce qui n’est pas le parti retenu pour le panneau de l’oriel (armoirie 4). Le style des trois panneaux, aujourd’hui conservés dans les réserves du musée Saint-Loup (Troyes, musées d’Art et d’Histoire), et les vêtements des personnages renvoient à la production du règne de Louis XII.

Sainte Anne et la Vierge Marie présentent Marie Anne de Pleurre. Troyes, Hotel Juvénal des Ursins (Troyes, musées d’Art et d’Histoire).

Dans la verrière située au-dessus du portrait d’Anne de Pleurre, on remarque un autre écu armorié figurant dans un quadrilobe (armoirie 7), dont la présence intrigue. Il semble en effet difficile d’associer aux familles propriétaires des lieux cette armoirie à la fasce accompagnée par trois coquilles qui, comme on peut le constater facilement, est placée au centre d’autres fragments de vitraux remployés. Il pourrait s’agir des armes des Genevois, qui portaient « d’azur à une fasce d’or accompagnée de trois coquilles du même » (Roserot 1879, p. 78, num. 360). Par ailleurs, à la fin du XIXe siècle, Fichot signalait déjà à cet endroit les « jolies arabesques » formés par « quelques verres de couleur posés au hasard », parmi lesquels il identifiait « un blason de la famille Louvemont » qui n’avait pas « ici sa raison d’être » (Fichot 1884, p. 133). Puisque la famille portait « de sable à trois châteaux d’argent maçonnés de sable, au chef d’argent chargé d’un lion hissant de gueules » (Roserot 1879, p. 101, num. 491), sauf erreur d’identification de la part du peintre troyen, une deuxième armoirie aurait figuré à cet endroit (armoirie 8). L’une comme l’autre n’était pas partie du décor originaire de l’hôtel, mais, d’après Arnaud (1837, p. 239), avait été posée à son époque pour remplacer « des inscriptions qui devaient faire connaitre les noms et qualités des personnages du vitrail ».

Pour conclure, l’identification des armoiries représentées dans l’Hôtel des Ursins, d’un côté, étaie la proposition de datation de l’ensemble monumental, à savoir une construction initiale datant de la fin du XVe siècle, et des adjonctions postérieures remontant au premier quart du XVIe siècle, et en tout état de cause antérieurement à l’incendie de 1524. De l’autre confirme que les Ursins, dont le nom est associé à cet édifice par la tradition, ont pu probablement être seulement les anciens propriétaires de l’hôtel, avant sa reconstruction à la Renaissance.

Auteurs : Jean-Luc Liez, Matteo Ferrari

Pour citer cet article

Jean-Luc Liez, Matteo Ferrari, Troyes, Hôtel Juvénal des Ursins, https://armma.saprat.fr/monument/troyes-hotel-juvenal-des-ursins/, consulté le 21/11/2024.

 

Bibliographie études

Arnaud, Anne-François, Voyage archéologique et pittoresque dans le département de l’Aube dans l’ancien diocèse de Troyes, Troyes 1837.

Chassel, Jean-Luc, « Une famille troyenne au service de la haute administration : les Jouvenel des Ursins », dans Sceaux et usages de sceaux. Images de la Champagne médiévale, Paris 2003.

Fichot, Charles, Aufauvre, Amédée, Album pittoresque et monumental du département de l’Aube, Troyes 1854.

Fichot, Charles, Statistiques monumentales du département de l’Aube, Paris 1884.

Le Clert, Louis, « Quelques seigneuries de l’ancien comté de Brienne, IIème partie. Recherches historiques et généalogiques sur les seigneurs de Blaincourt, Épagne et Vaubercey… », Mémoires de la Société académique d’Agriculture, des Sciences, Arts et Belles-Lettres du département de l’Aube, s. 3, 42, 1905, p. 13-186.

Morin, Alfred, « Principaux incendies survenus à Troyes », La Vie en Champagne, 177, 1969, p. 13.

Musso, Jean-Michel, Étude préalable, hôtel Juvénal des Ursins, Troyes 1993 (Troyes, Centre technique municipal de la Ville de Troyes).

Palasi, Philippe, Armorial historique et monumental de l’Aube, Troyes 2008.

Pinoteau, Hervé, La symbolique royale française, Ve-XVIIIe siècle, La Roche-Rigault 2003.

Roserot, Alphonse, « Armorial du département de l’Aube », Mémoires de la Société académique d’Agriculture, des Sciences, Arts et Belles-Lettres du département de l’Aube, s. 3, 16, 1879, p. 5-178.

Salet, Francis, « Emblématique et histoire de l’art », Revue de l’Art, 87, 1, 1990, p. 13-28.

Photographies du monument

Armoiries répertoriées dans ce monument

Troyes, Hôtel Juvénal des Ursins. Armoirie roi de France (armoirie 1)

D'(azur) à trois fleurs de lys d'(or).

Timbre : une couronne.

Collier d’Ordre : saint Michel.

  • Attribution : Armoirie restaurée ; Roi de France
  • Position : Extérieur
  • Étage : 1er étage
  • Pièce / Partie de l'édifice : Façade ; Logis
  • Emplacement précis : Oriel
  • Support armorié : Relief
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Relief en pierre
  • Période : 1476-1500 ; 1501-1525
  • Dans le monument : Troyes, Hôtel Juvénal des Ursins

Troyes, Hôtel Juvénal des Ursins. Armoirie roi de France (armoirie 2)

(D’azur à trois fleurs de lys d’or).

Timbre : une couronne.

  • Attribution : Roi de France
  • Position : Extérieur
  • Étage : Rez-de-chaussée
  • Pièce / Partie de l'édifice : Corps de bâtiment sur rue ; Façade
  • Emplacement précis : Portail
  • Support armorié : Accolade ; Tympan
  • Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
  • Technique : Relief en bois
  • Période : 1526-1550
  • Dans le monument : Troyes, Hôtel Juvénal des Ursins

Troyes, Hôtel Juvénal des Ursins. Armoirie Jean de La Perreuse (armoirie 3)

D'(azur) au lapin d'(or) posé en bande, (accompagné en chef à dextre d’une étoile d’or) et en pointe à dextre de feuilles d'(or), à la croix d'(or) brochant sur le tout.

  • Attribution : La Perreuse Jean de
  • Position : Extérieur
  • Étage : 1er étage
  • Pièce / Partie de l'édifice : Façade ; Logis
  • Emplacement précis : Oriel
  • Support armorié : Relief
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Relief en pierre
  • Période : 1501-1525 ; 1526-1550
  • Dans le monument : Troyes, Hôtel Juvénal des Ursins

Troyes, Hôtel Juvénal des Ursins. Armoirie Anne Marie de Pleurre (armoirie 4)

D'(azur) au chevron d'(argent) accompagné de trois griffons d'(or), les deux en chef affrontés.

  • Attribution : Pleurre Anne Marie de
  • Position : Extérieur
  • Étage : 1er étage
  • Pièce / Partie de l'édifice : Façade ; Logis
  • Emplacement précis : Oriel
  • Support armorié : Relief
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Relief en pierre
  • Période : 1501-1525 ; 1526-1550
  • Dans le monument : Troyes, Hôtel Juvénal des Ursins

Troyes, Hôtel Juvénal des Ursins. Armoirie Jean de La Perreuse (armoirie 5)

D’azur au lapin d’or posé en bande, accompagné en chef à dextre d’une étoile d’or et en pointe à dextre de feuilles d’or, à la croix d’or brochant sur le tout.

  • Attribution : La Perreuse Jean de
  • Position : Intérieur
  • Étage : 1er étage
  • Pièce / Partie de l'édifice : Logis
  • Emplacement précis : Fenêtre ; Oriel
  • Support armorié : Verrière
  • Structure actuelle de conservation : Troyes, Musées d'Art et d'Histoire
  • Technique : Vitrail
  • Période : 1501-1525 ; 1526-1550
  • Dans le monument : Troyes, Hôtel Juvénal des Ursins

Troyes, Hôtel Juvénal des Ursins. Armoirie Anne Marie de Pleurre (armoirie 6)

Mi-parti : au 1 d’azur au lapin d’or posé en bande, accompagné en chef à dextre d’une étoile d’or (et en pointe à dextre de feuilles d’or ?), à la croix d’or brochant sur le tout (La Perreuse) ; au 2 d’azur au chevron d’argent accompagné de (trois) griffons d’or (les deux au chef affrontés) (Pleurre). L’écu en losange.

  • Attribution : Pleurre Anne Marie de
  • Position : Intérieur
  • Étage : 1er étage
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chapelle ; Logis
  • Emplacement précis : Fenêtre ; Oriel
  • Support armorié : Verrière
  • Structure actuelle de conservation : Troyes, Musées d'Art et d'Histoire
  • Technique : Vitrail
  • Période : 1501-1525 ; 1526-1550
  • Dans le monument : Troyes, Hôtel Juvénal des Ursins

Troyes, Hôtel Juvénal des Ursins. Armoirie Genevois ? (armoirie 7)

D’azur à une fasce d’or, accompagnée de trois coquille d’or, disposées deux en chef et une en pointe.

  • Attribution : Genevois famille ; Armoirie remployée
  • Position : Intérieur
  • Étage : 1er étage
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chapelle ; Logis
  • Emplacement précis : Fenêtre ; Oriel
  • Support armorié : Verrière
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Vitrail
  • Période : 1501-1525 ; 1526-1550
  • Dans le monument : Troyes, Hôtel Juvénal des Ursins

Troyes, Hôtel Juvénal des Ursins. Armoirie Louvemont ? (armoirie 8)

(De sable à trois châteaux d’argent maçonnés de sable, au chef d’argent chargé d’un lion hissant de gueules).

  • Attribution : Louvemont famille
  • Position : Intérieur
  • Étage : 1er étage
  • Pièce / Partie de l'édifice : Logis
  • Emplacement précis : Chapelle ; Fenêtre ; Oriel
  • Support armorié : Verrière
  • Structure actuelle de conservation : Lieu inconnu
  • Technique : Vitrail
  • Période : Datation inconnue
  • Dans le monument : Troyes, Hôtel Juvénal des Ursins

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