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ARmorial Monumental du Moyen-Âge
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Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice

 

Inscrite au titre des Monuments Historiques depuis 1926 (base POP), l’église Saint-Maurice de Crissay-sur-Manse s’élève sur les vestiges d’une ancienne chapelle, autrefois rattachée au village voisin de Saint-Épain. D’après une note manuscrite du curé Antoine Ferret, datant de 1776 et fondée sur le témoignage d’un « ancien rituel de l’église de Neuil », la construction de l’église actuelle se serait échelonnée sur plusieurs siècles (Meyer 2000, p. 269). Elle débuta sous l’initiative de Lancelot Turpin († 1414) et de son épouse Denise de Montmorency au début du XVe siècle, se poursuivit avec Jacques Ier et Louise de Blanchefort, pour s’achever sous l’impulsion de Jacques II Turpin (v. 1491-v. 1551) et Catherine du Bellay († 1529), comme en témoigne également une inscription portant la date de 1527 située sur la flèche du clocher. La même année, l’édifice fut consacré par l’archevêque de Tours, Antoine de la Barre (1490-1548) (Busserolle 1879, p. 424). L’église se compose d’une large nef de trois travées voûtées sur croisées d’ogives, éclairée au sud par deux fenêtres à remplage flamboyant. Au nord, un collatéral voûté complète la structure. Accolée au chœur, sur le côté sud, se trouve la chapelle funéraire des Turpin de Crissé, édifiée par Jacques II et Catherine du Bellay dans les années 1520. Actuellement utilisée comme sacristie et fermée par une porte en bois, elle était autrefois ouverte sur le chœur, comme en témoigne l’arcature d’origine encore visible.

Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice, fragment d’une litre aux armes des Turpin.

Les clefs de voûte des deux premières travées de la nef sont chargées d’écus vides, dont la datation demeure incertaine (armories 1-2 ). À défaut d’autres documents, il est en effet difficile de déterminer si elles ont été ajouté lors de la restauration de la voûte en 1867 (Ranjard 1986, p. 342), ou si elles étaient présentes dès l’origine. L’absence de toute trace d’armoiries et l’aspect très lisse de la surface des écus laissent cependant penser que ces deux éléments ont été effectivement réalisés à une époque plus récente, peut-être pour remplacer des sculptures plus anciennes qui nous sont inconnues. Sur le mur de la deuxième travée de la nef au sud, subsistent les vestiges d’une peinture armoriée, probablement un fragment d’une litre funéraire courant sur les murs de l’église (armoirie 3a), comme semble l’indiquer la présence d’un fond sombre typique de ce genre de représentations. Au milieu, un écu en targe portait sans doute une armoirie qui a été vraisemblablement effacée à la Révolution. Même si l’armoirie n’est plus lisible, le cimier en forme d’arbre surmontant le heaume auquel l’écusson armorié est suspendu par sa guige nous assure que les armes des Turpin étaient figurées à cet endroit. En effet, les Turpin, qui signaient avec la graphie Tourpin (Paris, BnF, ms. Fr. 29383, acte de Martine Turpin, 1475, f. 15) portaient un heaume orné d’un cimier représentant une tour surmontée d’un pin, rappelant phonétiquement leur nom (Meyer 2000, p. 270). Le personnage identifié par l’armoirie n’est pas connu. Cependant la forme des lambrequins ornant le heaume peut fournir des indices pour la datation de cette peinture. En effet, ces ornements extérieurs peuvent être comparés à ceux représentés sur la litre funéraire de la  collégiale de Bueil en Touraine, datée de la première moitié du XVIe siècle.

La chapelle seigneuriale abrite encore l’enfeu de Catherine du Bellay (1500-1529), épouse de Jacques II Turpin. Daté de 1529 par l’épitaphe qui y figure encore, l’enfeu présente une arcature en plein cintre ornée de rouleaux finement sculptés de motifs typiques de la première Renaissance. La base gauche comporte une coquille taillée en creux, tandis que la droite est laissée vierge. De part et d’autre de l’inscription funéraire, deux écus en forme de losange sont encore visibles (armoiries 4a-b). La polychromie récente aux armes des Turpin (losangé de gueules et d’argent) n’est certainement pas fidèle aux armes qui devaient orner le tombeau à l’origine. Nous somme en effet certain que les écus portaient l’armoirie de Catherine du Bellay qui, selon les conventions héraldiques pour les armes des femmes, aurait dû utiliser un écu parti ou mi-parti aux armes de son époux (Turpin) et de son père (du Bellay).

Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice, enfeu de Catherine du Bellay (© Région Centre – Inventaire général, ADAGP).

Cette hypothèse est confirmée par un relevé de Pierre de Beaumesnil († 1787) (Paris, BnF, dép. est. et photo., GB-108-BOITE FOL, dossier 9, P127154), qu’il faudra cependant évaluer avec prudence, comme toute son œuvre, puisque son auteur avait tendance à déformer, modifier, voire inventer des éléments manquants. Comédien itinérant, Beaumesnil a dessiné et décrit divers monuments, principalement des vestiges antiques, au cours de ses nombreux déplacements pour ses pièces de théâtre. Le dessin du tombeau de Catherine du Bellay date des années 1780-1786, quand Pierre de Beausmenil visita la Touraine comme en témoigne le titre de ses portefeuilles de voyages. Le dessin nous montre ainsi les deux écus en losange avec les armes parties Turpin/du Bellay. Puisque l’armoirie de la famille de la femme figure à dextre, nous pouvons présumer que Beaumesnil ait inversé les positions des armes, même si des inversions de ce type ne sont pas rares (voir les armes d’Isabeau de Bavière dans la Sainte-Chapelle du château de Vincennes, par exemple). La description qui accompagne le croquis révèle d’autres détails de ce tombeau, parmi lesquels la présence d’une dalle en marbre noir aujourd’hui disparue (Paris, BnF, dép. est. et photo., GB-108-BOITE FOL, dossier 9, f. 6), et offre une transcription complète de l’épitaphe de la défunte.

Pierre de Beaumesnil, Enfeu de Catherine du Bellay dans l’église de Crissay-sur-Manse. Paris, BnF, dep. des estampes et de la photographie, GB-108-BOITE FOL, P127154.

L’enfeu situé dans le chœur, aujourd’hui vide et badigeonné, pose en revanche un problème plus sérieux d’identification. Selon un deuxième relevé de Beaumesnil, lui aussi accompagné d’une description, cet enfeu avait été réalisé pour Charles Turpin et sa femme Anne de Maillé (Paris, BnF, dép. est. et photo., GB-108-BOITE FOL, dossier 9, f. 6 et P127155). La correspondance entre l’enfeu conservé et celui reproduit par le dessin est certaine, car Beaumesnil précise que le tombeau en question était situé en face de celui de Catherine du Bellay et les motifs des rouleaux de l’arcature du monument coïncident avec ceux que l’on voit dans le dessin. Cependant, les armes qui auraient jadis figurées à cet emplacement posent problème. Beaumesnil dessine en effet un écu sur le mur du fond de l’enfeu aux armes pleines des Turpin (armoirie 3b), entouré d’un collier d’ordre et surmonté d’une couronne. Il représente également deux écus sur la dalle funéraire : celui de gauche, portant les armes pleines des Turpin (armoirie 3c), encadré d’un collier d’ordre et surmonté d’une couronne, appartient sans doute au seigneur inhumé. En revanche, l’écu de droite, portant les armes mi-parties de Turpin et d’un fascé ondé que Beaumesnil identifiait de toute évidence avec Maillé (armoirie 5a), entouré d’une couronne végétale et surmonté d’une couronne, appartient de toute logique à sa femme. Enfin, dans le croquis de l’érudit, le soubassement du tombeau présente le même écu armorié (armoirie 3d) couronné et entouré du collier d’ordre, que celui figurant sur le mur de fond et sur la dalle (à dextre), un écu mi-parti entouré d’une couronne végétale (armoirie 5b) identique à celui sculpté sur la dalle (au centre) et un écu en losange entouré d’une cordelière, probablement aux armes pleines de la défunte (armoirie 6), que Beaumesnil reproduit cependant sous la forme d’un contre-vairé au lieu du fascé ondé que l’on voit sur les autres écussons.

Pierre de Beaumesnil, Enfeu de Charles Ier Turpin et Anne de la Roche dans l’église de Crissay-sur-Manse. Paris, BnF, dep. des estampes et de la photographie, GB-108-BOITE FOL, dossier 9, P127155.

S’il est possible que Beausmenil ait fait confusion entre le contre-vair et les fasces ondées, peut-être aussi en raison de l’état de conservation du monument, c’est son attribution de la sépulture à Charles Turpin et Anne de Maillé qui semble plus improbable. D’après nos recherches, aucun mariage n’est connu entre un Charles Turpin et une Anne Maillé, ni plus en général entre d’autres membres de ces deux familles. Les ornements extérieurs des écus peuvent alors nous aider à éclairer la question. L’écu de l’homme, orné d’un collier d’ordre (probablement de l’ordre de Saint-Michel, institué en 1469, au vu des motifs qui ressemblent à des coquilles), oriente notre recherche vers les mariages des trois seigneurs de cette famille faits chevaliers de l’ordre au XVIe siècle – Jacques Ier Turpin († ap. 1494), Charles Ier Turpin († 1570) et Charles II Turpin († ap. 1574) – que nous trouvons représentés sur une tenture présentant une généalogie héraldique de la famille Turpin, datée de la seconde moitié du XIXe siècle et conservée au château d’Angrie, propriété des Turpin du début du XVIIIe siècle au début du XIXe siècle (base POP) (Vacquet 2020, p. 7). Ainsi, sur le troisième carré du deuxième filet des tentures sont brodées les armes accolées de Charles Ier Turpin et de son épouse Simone de la Roche, qui portait d’argent à trois fasces ondées de gueules (ibid., p. 23, B3 ; Busserolle 1867, p. 840). Simone de la Roche aurait alors pu commander le tombeau de l’église Crissay de son vivant après le décès de son mari en 1570 (Paris, AN, MC/ET/CVII/15, Obligation de Simone de La Roche, veuve de Charles Turpin…, 1572), ce qui expliquerait pourquoi ses armoiries sur le soubassement sont entourées d’une cordelière, signe de veuvage  (Hablot 2004, p. 16). De plus, la forme de la tabula ansata contenant à l’origine l’épitaphe confirme une datation remontant à la seconde moitié du XVIe siècle, époque de la quelle date un exemple similaire jadis inséré dans l’hôtel de la rue de la Regratterie à Poitiers. En outre, l’emplacement de l’enfeu dans le chœur et non pas dans la chapelle seigneuriale, peut s’expliquer par un manque de place dans cette dernière ou par des donations importantes du couple leur permettant d’être inhumés à cet endroit privilégié.

Enfin, selon le témoignage de Beaumesnil, un François Turpin était également inhumé dans l’église, bien que l’emplacement exact de son épitaphe demeure inconnu (Paris, BnF, dép. est. et photo., GB-108-BOITE FOL, dossier 9, f. 5). Il s’agit sans doute du seul membre de la famille Turpin connu sous ce prénom, le François qui était le frère cadet de Jacques II Turpin et qui est mort sans postérité († av. 1523). Malheureusement, l’érudit n’a pas réalisé un croquis de l’inscription et nous ne pouvons donc pas savoir si elle était accompagnée d’armoiries.

Auteur : Sarah Héquette

Pour citer cet article

Sarah Héquette, Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice, https://armma.saprat.fr/monument/crissay-sur-manse-eglise-saint-maurice/, consulté le 21/11/2024.

 

Bibliographie sources

Paris, AN, MC/ET/CVII/15, Obligation de Simone de La Roche, veuve de Charles Turpin…, 1572.

Paris, BnF, dép. est. et photo., GB-108-BOITE FOL, dossier 9.

Bibliographie études

Carré de Busserole Jacques-Xavier, Armorial général de Touraine précédé dune notice sur les ordonnances, édits, déclarations et règlements relatifs aux armoiries avant 1789, 2, Tours 1867 (Mémoires de la Société archéologique de Touraine, 19).

Carré de Busserolle Jacques-Xavier, Dictionnaire géographique historique et biographique dIndre-et-Loire et de lancienne province de Touraine, t.  2 , Tours 1879 (Mémoires de la société archéologique de Touraine, 31).

Hablot Laurent, « Pour en finir, ou pour commencer, avec l’ordre de la Cordelière », dans D. Lepage (dir.), Pour en finir avec Anne de Bretagne, actes du colloque (Nantes 2002), Nantes 2004, p. 47-70.

Meyer Christiane, « Présentation de Crissay-sur-Manse », Bulletin de la Société archéologique de Touraine, 46, 2000, 269-280.

Ranjard Robert, La Touraine archéologique : guide du touriste en Indre-et-Loire, Mayenne 1986 (éd. or. 1930).

Vacquet Étienne, « Les tentures héraldiques du château d’Angrie », Patrimoines en Anjou, 2020.

Photographies du monument

Armoiries répertoriées dans ce monument

Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice. Armoirie vierge (armoirie 1)

De…

  • Attribution : Armoirie restaurée ; Armoirie vierge
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Nef
  • Emplacement précis : Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1801-1900
  • Dans le monument : Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice

Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice. Armoirie vierge (armoirie 2)

De…

  • Attribution : Armoirie restaurée ; Armoirie vierge
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Nef
  • Emplacement précis : Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1801-1900
  • Dans le monument : Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice

Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice. Armoirie Turpin (armoirie 3a)

Losangé d'(argent) et de (gueules).

  • Attribution : Armoirie bûchée ; Armoirie illisible ; Turpin, famille
  • Cimier : Une tour, surmontée d’un pin. Lambrequin : de…
  • Tenants / Supports : Un griffon ; un lion
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Nef
  • Emplacement précis : Mur sud ; travée IIème
  • Support armorié : Litre funéraire
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Peinture murale
  • Période : 1501-1525 ; 1526-1550
  • Dans le monument : Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice

Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice. Armoirie Charles Turpin (armoirie 3b)

Losangé de (gueules) et d'(argent).

Collier d’ordre : ordre de saint Michel.

  • Attribution : Turpin Charles Ier
  • Timbre : Une couronne
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chœur
  • Emplacement précis : Chœur ; Enfeu
  • Support armorié : Mur
  • Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
  • Technique : Inconnue
  • Période : 1551-1600
  • Dans le monument : Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice

Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice. Armoirie Charles Turpin (armoirie 3c)

Losangé de (gueules) et d'(argent).

Collier d’ordre : ordre de saint Michel.

  • Attribution : Turpin Charles Ier
  • Timbre : Une couronne
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chapelle
  • Emplacement précis : Enfeu
  • Support armorié : Couvercle ; Sarcophage
  • Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
  • Technique : Inconnue
  • Période : 1551-1600
  • Dans le monument : Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice

Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice. Armoirie Charles Turpin (armoirie 3d)

Losangé de (gueules) et d'(argent).

Collier d’ordre : ordre de saint Michel.

  • Attribution : Turpin Charles Ier
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chœur
  • Emplacement précis : Enfeu
  • Support armorié : Soubassement
  • Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
  • Technique : Inconnue
  • Période : 1551-1600
  • Dans le monument : Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice

Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice. Armoirie de Catherine du Bellay (armoirie 4a)

Mi-parti : au 1, d’(argent) à la bande de fusées de (gueules), accompagnée de six fleurs de lys d’(azur) rangées en orle (Du Bellay) ; au 2, losangé de (gueules) et d’(argent) (Turpin) (alias : mi-parti : au 1, losangé de (gueules) et d’(argent) ; au 2, d’(argent) à la bande de fusées de (gueules), accompagnée de six fleurs de lys d’(azur) rangées en orle).

  • Attribution : Du Bellay Catherine ; Armoirie restaurée
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chapelle
  • Emplacement précis : Enfeu
  • Support armorié : Mur
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Inconnue
  • Période : 1526-1550
  • Dans le monument : Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice

Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice. Armoirie de Catherine du Bellay (armoirie 4b)

Mi-parti : au 1, d’(argent) à la bande de fusées de (gueules), accompagnée de six fleurs de lys d’(azur) rangées en orle (Du Bellay) ; au 2, losangé de (gueules) et d’(argent) (Turpin) (alias : mi-parti : au 1, losangé de (gueules) et d’(argent) ; au 2, d’(argent) à la bande de fusées de (gueules), accompagnée de six fleurs de lys d’(azur) rangées en orle).

  • Attribution : Du Bellay Catherine ; Armoirie restaurée
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chapelle
  • Emplacement précis : Enfeu
  • Support armorié : Mur
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Inconnue
  • Période : 1526-1550
  • Dans le monument : Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice

Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice. Armoirie Turpin/La Roche (armoirie 5a)

Mi-parti : au 1, losangé de (gueules) et d’(argent) (Turpin) ; au 2, d’(argent) à trois fasces ondées de (gueules) (de la Roche).

  • Attribution : La Roche Simone de ; Turpin Charles Ier
  • Timbre : Une couronne
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chœur
  • Emplacement précis : Enfeu
  • Support armorié : Couvercle ; Sarcophage
  • Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
  • Technique : Inconnue
  • Période : 1551-1600
  • Dans le monument : Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice

Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice. Armoirie Turpin/La Roche (armoirie 5b)

Mi-parti : au 1, losangé de (gueules) et d’(argent) (Turpin) ; au 2, d’(argent) à trois fasces ondées de (gueules) (de la Roche).

  • Attribution : La Roche Simone de ; Turpin Charles Ier
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chœur
  • Emplacement précis : Enfeu
  • Support armorié : Soubassement ; Sarcophage
  • Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
  • Technique : Inconnue
  • Période : 1551-1600
  • Dans le monument : Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice

Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice. Armoirie Simone de La Roche (armoirie 6)

Contre-vairé de… et de… (alias : d’(argent) à trois fasces ondées de (gueules) (de la Roche)).

  • Attribution : La Roche Simone de
  • Devise : Une cordelière.
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chœur
  • Emplacement précis : Enfeu
  • Support armorié : Soubassement ; Sarcophage
  • Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
  • Technique : Inconnue
  • Période : 1551-1600
  • Dans le monument : Crissay-sur-Manse, église Saint-Maurice

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