ArmmA

ARmorial Monumental du Moyen-Âge
Afficher la recherche

Rechercher dans le site

Recherche héraldique

Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf

 

Fondée en 1069 par Geoffroi-Guillaume d’Aquitaine († 1086), comte de Poitiers (Crozet 1942, p. 27, num. 103 ; Bidaut 1952, p. 118-119), et placée sous l’autorité de Cluny, l’abbaye bénédictine de Saint-Jean de Montierneuf s’élève dans la partie nord de la ville de Poitiers, en proximité du Clain (Camus 1978, p. 358-363). Erigé à partir de 1069 et consacré par le pape Urbain II en 1096, comme une inscription encastré dans le mur nord de l’église en témoigne (Favreau 2017, p. 157, num. 143), le complexe monastique avait été élu par son fondateur comme lieu de sépulture pour lui et pour les siens. Si les travaux de construction procédèrent rapidement, à tel point que l’église était probablement déjà complétée à la mort de Geoffroi-Guillaume, le monastère eut une histoire particulièrement mouvementée, marquée par des nombreuses phases de reconstruction. L’église abbatiale fit en effet déjà l’objet d’importants travaux entre la fin du XIIIe siècle et le début du XIVe, quand le chevet gotique rayonnant fut construit mais préservant les piles et les arcades du chœur de l’édifice roman. Des travaux d’envergure furent ensuite réalisés après les pillages et destructions auxquelles Montierneuf fut exposé, malgré les oeuvres de fortifications réalisées sous Charles VII (De Chergé 1844, p. 262, note 95 ; Bidaut 1952, p. 120), d’abord au moment de la prise de Poitiers par les protestants en 1562 (à cette époque remontent l’effondrement de la nef et du bras sud du transept), puis par le siège de la ville par les troupes de Coligny en 1569. L’effondrement du clocher et d’une partie de la nef en 1643 conduisirent, après un siècle presque d’abandon, à la reconstruction d’une grande partie de l’église, qui fut assurée par l’intervention de l’abbé Pierre Rousseau de la Parisière (1610-1653), dans les années 1643-1644, et par son neveu, l’abbé René Rousseau de la Parisère (1662-1672), dans les années 1668-1672 (Bidaut 1952, p. 121-122). Le premier fit supprimer les premières trois travées occidentales, détruire la façade romane et en construire une nouvelle plus en retrait, abaisser les voûtes de la nef et des collatéraux qui furent reconstruites en plein cintre, ériger un jubé orné de peintures et de marbres. Le deuxième fit restaurer le chevet gothique, en reconstruisant notamment les voûtes et en rajoutant des arcs-boutants pour en assurer la stabilité (ibid.). Fermé et transformé en caserne à partir de 1787, puis rendu au culte en 1805 et restauré par l’abbé Sabourin dans les années 1817-1822, Saint-Jean de Montierneuf fut classé au titres des Monuments historiques en 1840 (base POP) (Bidaut 1952, p. 122-123).

Poitiers, Saint-Jean de Montierneuf, chevet, arcs boutant avec contreforts armoriés.

L’héraldique marque toutes les parties du complexe monastique reconstruites au fil des siècles. Ces sont notamment les armes des Rousseau qui sont encastrées à plusieurs endroits de l’église (Thibaudeau 1839, p. 293). Même si tardives, ces armoiries reflètent encore une logique de « mise en signe » qui prolonge les pratiques médiévales. Toujours accompagnées de millésimes gravés directement dans la pierre, ces armoiries signalent les phases d’avancement du chantiers de reconstruction et, grâce à leur emplacement, mettent en exergue la personne du commanditaire.

L’écu armorié plus ancien est celui qui orne la porte d’entrée de l’église, ouverte dans la nouvelle façade en 1644 par l’abbé Pierre, comme en témoigne la date sculptée sur un des vantail en bois. L’écu carré, partiellement bûché, était à l’origine timbré d’une crosse et, probablement, d’une mitre, et est tenu par un ange (armoirie 1a) (plus en haut, dans le tympan, nous pouvons voir les armes du comte de Hamel, préfet de la Vienne, qui s’activa pour la restauration de l’église au début du XIXe siècle : De Chergé 1844, p. 269, note 145). Les trois contreforts réaménagés dans partie nord du chevet (Bidaut 1952, p. 133), en partant de la chapelle d’axe, sont en revanche ornés des armes de l’abbé René : timbrées d’une mitre et posées sur une crosse, elles sont accompagnées de la date 1668 gravée directement dans la pierre (armoiries 1b-d). Exposés dans la partie haute de ces oeuvres de soutien, sur le côté est, ces écussons devaient être bien visibles même depuis l’extérieur de la clôture du monastère (Paris, BnF, dép. est. et photo, VA-86(5)-FOL : Collecta). Deux seuls, déjà signalés par De Chergé au milieu du XIXe siècle (1845, p. 221) et encore par Bidaut au milieu du XXe siècle (Bidaut 1952, p. 121), semblent authentiques (armoiries 1c-d), le troisième ayant été visiblement resculpté (armoirie 1b), peut-être sur des traces anciennes, dans une phase ultérieure de restauration (il est déjà visible dans une photographie de l’église des années 1880 : base POP). Les armes de l’abbé René sont également sculptées sur la deuxième et la troisième travée du chœur (armoiries 1e-f) : sommées d’une mitre et posées sur une crosse, elles sont orientées avec le chef vers l’est. Les meubles qui composent l’armoirie des Rousseau de la Parisière (deux roseaux passés en sautoir) sont également représentés sur la face ouest – donc celle tournée vers la nef – des clés des arcs-doubleaux entre la première et la deuxième travée du chœur (armoirie 1g) et entre la deuxième et la troisième travée (armoirie 1h). Sur le côté opposé est en revanche gravé le millésime 1672, indiquant la conclusion des travaux de refection de cette partie de l’église.

Poitiers, Saint-Jean de Montierneuf, bas-côté nord, contreforts armoriés.

À l’extérieur trois contreforts du collateral nord, longtemps cachés derrière des annexes construits au XIXe siècle tout au long de ce côté de l’église (Poitiers, AD Vienne, Cadastre 1838, 4 P 1177-1188 ; Camus 1978, p. 357, note 3), sont ornés d’écussons armoriés qui, accompagnés d’une crosse, sont tous chargés d’une croix (armoiries 2a-c). Si l’un d’entre eux semble avoir été sculpté dans une des phases les plus récentes de restauration de l’édifice (armoirie 2a), peut-être sur des vestiges anciens, les deux autres semblent authentiques et dater du XVIe siècle (armoiries 2b-c). Malheureusement nous n’avons pas pu pour l’instant identifier le porteur de ces armes : le seul abbé qui a porté une armoirie à la croix est en effet Charles de Saint-Gelais, abbé comandataire de Montierneuf nommé en  1461, mais celle-ci était pattée (Eygun 1938, p. 412, num. 1483).

Dans l’abbaye Saint-Jean de Montierneuf de Poitiers devaient certainement figurer aussi plusieurs sépultures armoriées d’époque médiévale et de la Renaissance, notamment celles des abbés que nous savons avoir été enterrés dans le chœur et dans les chapelles de l’église (Gallia christiana, t. 2, 1720, col. 1263-1273). En raison des ravages provoqués à l’édifice par les protestants, puis des écroulements et des restaurations successives réalisées au XVIIe siècle, seuls deux tombeaux ornés d’armoiries, aujourd’hui perdus, semblent avoir survécu jusqu’au seuil de l’époque moderne. Une plate tombe presque déjà anépigraphe à la fin du XVIIe sièle, quand elle fut reproduite par Louis Boudan, le dessinateur de François Roger de Gaignières, était placée à l’entrée du chœur, entre l’autel et les stalles des religieux (Oxford, Bodleian Library, Gough drawings Gaignières 14, fol. 135 : Collecta). Placé sous une arcade gotique, le portrait de l’abbé crossé et mitré, qui posait ses pieds sur un chien, est accompagné, dans la partie supérieure de la dalle, par deux écussons à ses armes (armoiries 3a-b).

Pierre tombale de Joachim d’Availloles. Abbaye Saint-Jean de Montierneuf (coll. Gaignières).

Attribué à un abbé « d’Availloles » dans la légende qui complète le dessin de Boudan mais datée du XIVe siècle par certains (Adhémar 1974-1977, p. 99, num. 525), le tombeau a été reconnu à Joachim d’Availloles († 1570), nommé abbé commanditaire de Saint-Jean de Montierneuf en 1552 (Bibale), par Henry Beauchet-Filleau à la fin du XIXe siècle (1891, p. 199). L’érudit poitevin remarquait cependant que l’armoirie figurée sur le tombeau ne correspondait pas à celle utilisée d’habitude par la famille d’Availloles, qui portait soit de sable à la fasce d’argent chargée de cinq losanges de gueules, accompagnées de six fleurs de lis d’argent, soit d’argent à deux fasces de gueules et six merlettes disposées 3, 2, 1 (Beauchet-Filleau 1891, p. 19). Le même Joachim d’Availloles semble d’ailleurs avoir utilisé un sceau portant une armoirie écartelée, malheureusement illisible dans la seule empreinte qui nous est connue pour l’instant (Sigilla), mais qui devait être vraisemblablement la même qui fut employée quelques années plus tôt par François d’Availloles, un de ses familiers (aux 1 et 4 de sable à la fasce d’argent chargée de cinq losanges de gueules et accompagnée de six fleurs de lis d’argent, 3 et 3 posées en fasce ; aux 2 et 3, d’or à deux fasces entées de gueules : Bibale), pour marquer un manuscrit confectionné vers 1540 (Paris, Arsenal, ms. 415, fol. 20v, 139v : Biblissima). Il est donc plausible que l’attribution traditionnelle de cette plate tombe soit à rejeter.

Jadis placée dans le chœur de l’église et plus précisément devant l’autel de la première chapelle à droite, la plate tombe de René Caillet, nommé abbé de Saint-Jean de Montierneuf en 1505 et mort en 1529 (Jarry 2011, p. 142-143), est également documentée par un dessin de la collection de Roger de Gaignières, réalisé quand elle se trouvait encore dans son emplacement d’origine (Oxford, Bodleian Library, Gough drawings Gaignières 14, fol. 137 : Collecta). Encore conservée à la fin du XIXe siècle (Beauchet-Filleau 1895, t. 2, p. 104), elle a été successivement perdue.

Pierre tombale de René Caillet. Abbaye de Saint-Jean de Montierneuf (coll. Gaignières).

Pierre tombale de René Caillet. Abbaye de Saint-Jean de Montierneuf (coll. Gaignières).

Le pourtour de la dalle porte un longue inscription en écriture gothique qui, fidèlement reproduite par Boudan, nous restitue l’identité du défunt (Adhémar 1974-1977, p. 77, num. 1531). Au milieu, le gisant est encadré par une architecture aux formes typiques de la pleine Renaissance, avec deux colonnes très ornées et posées sur des plinthes, surmontées par un linteau saillant. La forme des écussons aux armoiries de l’abbé est aussi à la pointe de la mode de l’époque (armoiries 4a-b). Ce type d’écu, dit italien, demeure en effet plutôt rare dans la région et on le retrouve à partir des années 1520, initialement dans des œuvres commanditées par des personnages du haut clergé et de l’élite citadine (tel le clocher de l’abbaye de Ligugé, fait faire dans les mêmes années par Geoffroy d’Estissac).

L’armoirie reproduite dans le dessin, présentant un écusson en abîme chargé, vraisemblablement, d’une hure de sanglier, ne semble pas correspondre aux armes normalement utilisées par les Caillet, qui portaient d’azur au lion rampant d’argent, accompagné par trois cailles posées deux en chef et une en pointe (Beauchet-Filleau 1895, t. 2, p. 104), comme en témoigne l’armoirie de Jean Caillet, maire de Poitiers en 1554, reproduite dans l’armorial des frères de Sainte-Marthe (Paris, Bnf, ms. Fr. 20157, fol. 174r).

Auteur : Matteo Ferrari

Pour citer cet article

Matteo Ferrari, Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf, https://armma.saprat.fr/monument/poitiers-abbaye-saint-jean-de-montierneuf/, consulté le 02/04/2025.

 

Bibliographie sources

Gallia christiana in provincias ecclesiasticas distributa, t. 2, Paris 1720.

Bibliographie études

Adhémar Jean, « Les tombeaux de la Collection Gaignières. Dessins d’archéologie du XVIIe siècle », Gazette des Beaux Arts, 116, 88, 1974, p. 5-192 ; 118, 88, 1976, p. 3-128 ; 119, 90, 1977, p. 3-76.

Beauchet-Filleau Henri, Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou, t. 2, Poitiers 1895.

Bidaut Jacques, « Église Saint-Jean-de-Montierneuf de Poitiers », Congrès archéologiques de France, 109 (Poitiers 1951), 1952, p. 118-137.

Camus Marie-Thérèse, « Un chevet à déambulatoire et chapelles rayonnantes à Poitiers vers 1075 : Saint-Jean-de-Montierneuf », Cahiers de Civilisation Médiévale, 21-84, 1978, p. 357-384.

Crozet René, Textes et documents relatifs à l’histoire des arts en Poitou : Moyen âge, début de la Renaissance, Poitiers 1942.

De Chergé Charles, « Mémoire historique sur l’abbaye de Montierneuf de Poitiers », Mémoires de la Société des Antiquaires de l’Ouest, 11, 1844, p. 147-276.

Eygun François, Sigillographie du Poitou jusqu’en 1515, Poitiers 1938.

Favreau Robert, Les inscriptions de Poitiers (fin VIIIe-début XVIe siècle). Une source pour l’histoire de la ville et de ses monuments, Paris 2017.

Jarry Jacques, Corpus des inscriptions latines et étrangères du Poitou, t. 3. Périodes Renaissance (1453-1643) et Moderne (1643-1789), s.l. 2011.

Thibaudeau 1839

Photographies du monument

Armoiries répertoriées dans ce monument

Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf. Armoirie Rousseau de la Parisère (armoirie 1a)

D'(azur) à deux roseaux d'(or) passés en sautoir.

  • Attribution : Rousseau de la Parisère Pierre
  • Timbre : Une crosse épiscopale/d'abbé
  • Position : Extérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Eglise ; Façade
  • Emplacement précis : Portail
  • Support armorié : Tympan
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1601-1700
  • Dans le monument : Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf

Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf. Armoirie Rousseau de la Parisère (armoirie 1b)

D'(azur) à deux roseaux d'(or) passés en sautoir.

  • Attribution : Rousseau de la Parisère René ; Armoirie restaurée
  • Timbre : Une mitre ; Une crosse épiscopale/d'abbé
  • Position : Extérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chevet ; Eglise
  • Emplacement précis : Arc-boutant
  • Support armorié : Contrefort
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1601-1700 ; 1801-1900
  • Dans le monument : Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf

Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf. Armoirie Rousseau de la Parisère (armoirie 1c)

D'(azur) à deux roseaux d'(or) passés en sautoir.

  • Attribution : Rousseau de la Parisère René
  • Timbre : Une mitre ; Une crosse épiscopale/d'abbé
  • Position : Extérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chevet ; Eglise
  • Emplacement précis : Arc-boutant
  • Support armorié : Contrefort
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1601-1700
  • Dans le monument : Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf

Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf. Armoirie Rousseau de la Parisère (armoirie 1d)

D'(azur) à deux roseaux d'(or) passés en sautoir.

  • Attribution : Rousseau de la Parisère René
  • Timbre : Une mitre ; Une crosse épiscopale/d'abbé
  • Position : Extérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chevet ; Eglise
  • Emplacement précis : Arc-boutant
  • Support armorié : Contrefort
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1601-1700
  • Dans le monument : Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf

Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf. Armoirie Rousseau de la Parisère (armoirie 1e)

D'(azur) à deux roseaux d'(or) passés en sautoir.

  • Attribution : Rousseau de la Parisère René
  • Timbre : Une mitre ; Une crosse épiscopale/d'abbé
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chœur ; Eglise
  • Emplacement précis : travée IIème ; Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1601-1700
  • Dans le monument : Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf

Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf. Armoirie Rousseau de la Parisère (armoirie 1f)

D'(azur) à deux roseaux d'(or) passés en sautoir.

  • Attribution : Rousseau de la Parisère René
  • Timbre : Une mitre ; Une crosse épiscopale/d'abbé
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chœur ; Eglise
  • Emplacement précis : travée IIIème ; Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1601-1700
  • Dans le monument : Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf

Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf. Armoirie Rousseau de la Parisère (armoirie 1g)

D'(azur) à deux roseaux d'(or) passés en sautoir.

  • Attribution : Rousseau de la Parisère René
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chœur ; Eglise
  • Emplacement précis : Arc doubleau ; travée Ière ; travée IIème
  • Support armorié : Clef d'arc
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en bois
  • Période : 1601-1700
  • Dans le monument : Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf

Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf. Armoirie Rousseau de la Parisère (armoirie 1h)

D'(azur) à deux roseaux d'(or) passés en sautoir.

  • Attribution : Rousseau de la Parisère René
  • Position : Extérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chœur ; Eglise
  • Emplacement précis : Arc doubleau ; travée IIème ; travée IIIème
  • Support armorié : Clef d'arc
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1601-1700
  • Dans le monument : Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf

Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf. Armoirie inconnue (armoirie 2a)

De… à la croix de…

  • Attribution : Armoirie inconnue ; Armoirie restaurée
  • Timbre : Une crosse épiscopale/d'abbé
  • Position : Extérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Bas-côté nord ; Eglise
  • Emplacement précis : Contrefort ; travée VIIIème ; travée VIIème
  • Support armorié : Pierre sculptée
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1451-1475 ; 1476-1500 ; 1501-1525 ; 1526-1550 ; 1901-2000
  • Dans le monument : Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf

Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf. Armoirie inconnue (armoirie 2c)

De… à la croix de…

  • Attribution : Armoirie inconnue
  • Timbre : Une crosse épiscopale/d'abbé
  • Position : Extérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Bas-côté nord ; Eglise
  • Emplacement précis : Contrefort
  • Support armorié : Pierre sculptée
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1451-1475 ; 1476-1500 ; 1501-1525 ; 1526-1550
  • Dans le monument : Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf

Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf. Armoirie d’Availloles ? (armoirie 3a)

De… à une canne de…, au chef de… chargé de trois roses de…

  • Attribution : Armoirie inconnue ; Availloles, Joachim d'
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chœur ; Eglise
  • Emplacement précis : Sol
  • Support armorié : Monument funéraire
  • Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
  • Technique : Image gravée
  • Période : 1551-1600 ; Datation inconnue
  • Dans le monument : Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf

Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf. Armoirie d’Availloles ? (armoirie 3b)

De… à une canne de…, au chef de… chargé de trois roses de…

  • Attribution : Armoirie inconnue ; Availloles, Joachim d'
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chœur ; Eglise
  • Emplacement précis : Sol
  • Support armorié : Monument funéraire ; Plate-tombe
  • Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
  • Technique : Image gravée
  • Période : 1551-1600 ; Datation inconnue
  • Dans le monument : Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf

Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf. Armoirie Caillet (brisure) (armoirie 4a)

D'(azur ?) à trois cailles d'(argent ?) disposées deux en chef et une en pointe, à un écusson de… à la hure de sanglier de… en abîme.

  • Attribution : Caillet, René
  • Timbre : Une crosse épiscopale/d'abbé
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chœur ; Eglise
  • Emplacement précis : Chapelle ; Côté sud ; Sol
  • Support armorié : Monument funéraire ; Plate-tombe
  • Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
  • Technique : Image gravée
  • Période : 1526-1550
  • Dans le monument : Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf

Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf. Armoirie Caillet (brisure) (armoirie 4b)

D'(azur ?) à trois cailles d'(argent ?) disposées deux en chef et une en pointe, à un écusson de… à la hure de sanglier de… en abîme.

  • Attribution : Caillet, René
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chœur ; Eglise
  • Emplacement précis : Chapelle ; Côté sud ; Sol
  • Support armorié : Monument funéraire ; Plate-tombe
  • Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
  • Technique : Image gravée
  • Période : 1526-1550
  • Dans le monument : Poitiers, abbaye Saint-Jean de Montierneuf

Recherche

Menu principal

Haut de page