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ARmorial Monumental du Moyen-Âge
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Châtellerault, commanderie d’Auzon

 

Avec ses 30 mètres de long sur 7 mètres de large, la chapelle de la commanderie d’Auzon, située au sud de Châtellerault et près de la rivière homonyme, est la plus grande des chapelles de l’Ordre du Temple construites en Poitou (Ducluzeau, Lavrard 2013, p. 66). Elle fut bâtie en deux phases distinctes : les trois travées orientales présentent en effet des caractères typiquement romans alors que la travée orientale est le résultat d’un prolongement plus tardif, réalisé probablement au début du XIIIe siècle (ibid., p. 67).

Châtellerault, Commanderie d'Auzon, chapelle, façade.

Châtellerault, Commanderie d’Auzon, chapelle, façade.

En l’absence de documents –  les archives de la commanderie templière ont été intégralement détruites après la suppression de l’ordre – la datation de la chapelle repose sur l’analyse formelle de l’architecture et de son décor peint. En raison du grand nombre de fleurs de lys reproduits dans le chœur (chapiteaux, colonnes, mur du chevet) on a cru que les peintures de cette partie de l’église et, donc, l’ensemble du bâtiment remontaient à l’époque d’Aliénor d’Aquitaine, plus précisément dans une fourchette comprise entre 1137 et 1152 car, selon une idée reçue, les léopards auraient pris la place des lys dans le vocabulaire ornemental de la région lorsque celle-ci devint anglaise (Ducluzeau, Lavrard 2013, p. 60). Pourtant, cet argument demeure peu convaincant : la fleur de lys conserve une valeur symbolique qui en justifie l’usage dans l’ornementation des espaces sacrés sans qu’il existe nécessairement des rapports avec le contexte politique et institutionnel. La fondation de la commanderie d’Auzon et de sa chapelle au milieu du XIIe siècle, peu après l’installation des Templiers en Poitou en 1139, reste cependant plausible.

Du point de vue héraldique, c’est la deuxième phase d’ornementation picturale de la chapelle qui retient notre attention.

Intrados de l'arcade de la IIIème travée avec frise héraldique, détail. Châtellerault, Commanderie d'Auzon.

Intrados de l’arcade de la IIIème travée avec frise héraldique, détail. Châtellerault, Commanderie d’Auzon.

L’intrados du premier arc doubleau du coté du mur pignon ouest présente une série d’écussons armoriés à l’intérieur d’une frise plutôt complexe et soigneusement exécutée. À l’origine la frise était probablement composée de huit écus, disposés de façon symétrique par rapport au faîte de l’arcade. La chute de l’enduit qui couvrait la section septentrionale de l’arcade a vraisemblablement conduit à la perte des deux premiers écussons de la série. D’ailleurs, aucun badigeon ne semble avoir jamais couvert ces peintures, dont nous trouvons déjà une mention dans le récit de la visite effectué en 1691 qui précise que « la chapelle est bien voutée avec des paintures aux arcades quy la soutiennent, et celle de dessus lhaustel l’est partout » (les écussons peints seront signalés, mais non décrits, pour la première fois par Rochebrochard 1889, p. 421). En procédant vers le centre de l’arcade, le décor débute par le fragment d’une armoirie avec le fond en or et, peut-être, un besant dans le cœur (armoirie 1). Elle est suivie par un vairé à la bande de gueules (armoirie 2), que l’on retrouve sur les deux écussons représentés sur le mur pignon occidental (armoiries 7, 8) : placés de part et d’autre de la grande baie gotique, ils sont accrochés par le biais d’une courroie à la bande jaune-rouge qui traverse la paroi.

Châtellerault, Commanderie d'Auzon, armoirie de Renaud Vichier.

Châtellerault, Commanderie d’Auzon, armoirie de Renaud Vichier.

Contrairement à l’armoirie peinte sur l’arc doubleau, celles représentées sur le mur pignon occidental présentent une bande rouge légèrement courbée, un moyen graphique visant à traduire l’effet optique de la surface bombée de l’écu. Sur la moitié méridionale de l’arc nous reconnaissons les armes de l’Ordre : un coupé d’argent et de sable à la croix potencée d’or brochant sur le tout (armoirie 3). Au milieu de la croix, des fragment d’azur sembleraient appartenir à un écusson, probablement semé de fleurs de lys d’or. Il s’agit d’un élément peu courant que l’on retrouve associé à la personne du maître de l’Ordre du Temple dans un armorial allemand daté de 1405 mais composé sur la base de sources plus anciennes (Armorial Beyeren, f. 1v).  La présence de la fleur de lys pourrait être liée à une concession royale au maître de l’Ordre. Cette armoirie est suivie par un écu d’argent à trois fasces de sable (armoirie 4) (Bellin 2000, p. 57).  Après une lacune qui correspond à la place vraisemblablement occupée par un autre écusson (armoirie 5) – on en décèle le fond d’argent –, la panoplie était conclue par une armoirie d’argent à trois fasces d’azur au lion de sable (gueules ?) brochant sur le tout (armoirie 6).

Si ces peintures ont été datées soit de la fin du XIIIe siècle (Bellin 2000, p. 57) soit vers 1270 (Landry-Delcroix 2012, p. 242), les éléments héraldiques nous permettent d’en préciser davantage la chronologie et le contexte historique de réalisation. La présence de l’armoirie du Temple (armoirie 3), dans la forme de la bannière dite Beauceant (Ducluzeau, Lavrard 2013, p. 63), offre déjà un terme chronologique indiscutable pour cette partie du décor qui fut certainement réalisée avant le début du procès contre l’ordre en 1307 et la successive dévolution de ses biens aux Hospitaliers de Saint-Jean en 1313 (Roger 2008). La datation est ensuite précisée par l’armoirie de vair plain à la bande de gueules qui se répète trois fois, comme on vient de le voir, entre l’arcade et le mur-pignon occidental (armoiries 2, 7-8).

Armoirie de l'Ordre du Temple. Châtellerault, Commanderie d'Auzon, armoirie Templiers, armoirie 5

Armoirie de l’Ordre du Temple. Châtellerault, Commanderie d’Auzon.

Il s’agit vraisemblablement de l’armorie de Renaud de Vichier (de Vicherio) qui, d’après certains, fut précepteur d’Auzon (avant 1240, lorsqu’il devint commandeur dans la ville d’Acre ?) avant de recouvrir les charges de grand-maître (preceptor) du Temple en France (de 1242 à 1248), puis de maréchal de l’Ordre et, enfin, de grand-maître de l’Ordre entre 1250 et 1256 (Bulst-Thiele 1974, p. 230-231). Il appartenait probablement à la famille de Vichy – Vicherius est en effet une forme latine documentée au Moyen Âge pour désigner la localité auvergnate – qui portait des armes de vair plain (Grand armorial de France, VI, p. 448). La bande de gueules correspondrait donc à une brisure que Renaud ajoutait aux armes familiales, peut-être en tant que fils cadet.

Il semble par contre moins probable que cette armoirie appartenait à Geoffroy de Vichier, qui fut visiteur cismarin de l’Ordre pour les provinces d’Allemagne, Angleterre et France entre 1286 et 1290 (Bulst-Thiele 1974, p. 226, note 8) ou 1293 (Trudon des Ormes 1894, p. 235). Malgré l’importance de la fonction du visiteur – celui-ci s’occupait en effet de vérifier l’état des finances des provinces et la manière dont elles géraient leurs biens – aucune raison apparente ne justifie la reproduction des armes de Geoffroy dans un tel contexte.

Armoirie de Geoffroy II de Lusignan, dit La grande dent. Châtellerault, commanderie d'Auzon, armoirie 8

Armoirie de Geoffroy II de Lusignan, dit La grande dent. Châtellerault, commanderie d’Auzon.

D’ailleurs, une datation aussi avancée ne collerait pas avec la présence de l’armoirie fascée au lion bronchant (armoirie 6), qui pourrait appartenir à un membre de la famille des Lusignan. En effet, s’il est vrai que le puissant lignage poitevin n’adoptait pas de fascés argent/azur mais plutôt de burelés argent/azur, il a été observé que ces deux armoiries étaient parfois confondues au XIIIe siècle. Deux personnages pourraient correspondre à cette armoirie : Geoffroy de Jarnac († vers 1272-1274) et Geoffroy II la Grand’dent († 1247/1248). Le premier, appartenant à la branche de Jarnac et Château-Larcher, utilisa un burelé au lion de gueules brochant sur le tout auquel, avant 1248, il ajouta un lambel de quatre pendants brisant le lion (Eygun 1938, p. 223, num. 441, an 1246 avec lambel), abandonné par la suite (ibid., num. 442, an 1248, sans lambel ; ibid., num. 443, an 1269, sans lambel mais avec le lion à la queue nouée). Fils d’Hugues X et d’Isabelle d’Angoulême et fidèle du comte de Poitiers, Geoffroy de Jarnac ne fit toutefois aveu qu’en 1263 de la vicomté de Châtellerault, qu’il acquit par son mariage avec Jeanne, fille d’Aimery de Châtellerault et d’Agathe de Dammartin (Beauchet-Filleau 1973, t. 6, p. 295). En revanche, Geoffroy II la Grand’dent, qui utilisa lui-aussi un burelé au lion bronchant (De la Boutetière, p. 98, n. 1), fut vicomte de Châtellerault entre 1224 et 1238. Fils de Geoffroy I de Vouvent, lui-même fils d’Hugues X, il avait épousé Clémence de Châtellerault, fille du vicomte Hugues III, avant mai 1224, lorsqu’il fit hommage de la vicomté au roi Louis VIII (Teulet 1866, p. 31, doc. 1650 ; Painter 1955, p. 376, 382). En 1238, à la mort, sans héritiers, de sa femme, la vicomté passa à Aymeric II (Bardonnet 1879, p. 58).

Nous pouvons donc retenir l’année 1238 comme terminus ante quem pour la réalisation des peintures, qui se situeraient par conséquent à l’époque où Renaud de Vichier fut, peut-être, commandeur d’Auzon (Ducluzeau, Lavrard 2013, p. 63). Il serait alors logique d’imaginer que le décor fut réalisé dans la foulée de l’agrandissement de la chapelle. Il a d’ailleurs été observé que le décor des chapelles templières était très souvent réalisé juste après l’achèvement de la construction ou de l’aménagement de l’édifice ou bien peu après l’investissement par les frères d’un lieu de culte préexistant (Carraz 2014, p. 63-64). Les armes de Geoffroy II la Grand’dent signaleraient donc l’autorité du vicomte, sous la juridiction duquel se trouvait la terre sur laquelle la chapelle avait été bâtie. En outre, les chartes d’archives témoignent des bons rapports que Geoffroy entretenait avec l’Ordre, notamment avec la commanderie de Mauléon – territoire qui faisait partie de ses domaines toujours grâce à son mariage avec Clémence, fille de Ralph de Mauléon (Painter 1955, p. 382) – qui bénéficia à plusieurs reprises de ses donations, en 1226, 1238 et 1239 (De la Boutetière, 1872, p. 98, 107-108). Il est plausible que la commanderie d’Auzon ait bénéficié de donations similaires, peut-être aussi à l’occasion des travaux d’aménagement de l’édifice, mais l’absence de documents ne permet pas de vérifier cette hypothèse.

Armoirie anonyme. Châtellerault, Commanderie d'Auzon, armoirie 6

Armoirie anonyme. Châtellerault, commanderie d’Auzon.

Les autres armoiries encore visibles sont trop abîmées (armoiries 1, 5) ou trop communes (armoirie 4) pour être identifiées avec certitude et ne peuvent donc aider à circonscrire davantage la fourchette chronologique des peintures ou à comprendre les circonstances qui en dictèrent la réalisation. La convocation d’un chapitre provincial ou général à Auzon aurait pu fournir l’occasion pour la réalisation du cycle peint. En effet, considérée comme l’une des plus importantes d’Aquitaine avec celle de La Rochelle, la commanderie d’Auzon accueillit un certain nombre de chapitres généraux et simples (Trudon des Ormes 1899, p. 518-519, citant les documents publiés par Michelet I-II, passim). Par conséquent, l’agrandissement de la chapelle et la réalisation de sa nouvelle ornementation héraldique pourraient avoir été mises en place en prévision de l’une des ces rencontres. Cependant, même si les écus « accrochés » au mur évoquent l’usage réel d’exposer des boucliers armoriés dans les lieux publics lors de certaines occasions, il ne faut pas nécessairement chercher à mettre en relation l’exécution de ces peintures avec un événement spécifique. Le choix de représenter des écussons héraldiques sur les parois de la chapelle d’une commanderie n’était pas insolite, comme on le constate, par exemple, dans la « série héraldique » conservée dans la chapelle de la commanderie de Plaincourault (36). Cette pratique, propre à l’ordre des Templiers a une longue tradition, dont les origines sont probablement à rechercher dans l’habitude de ces chevaliers moines, documentée déjà par Bernard de Clairvaux vers 1136, d’accrocher leurs armes (et non seulement les écus) aux parois du Temple de Jérusalem (« Ornatur tamen huius quoque facies templi, sed armis, non gemmis ; et pro antiquis coronis aureis, circum pendentibus clypeis paries operitur, pro candelabris, thuribulis atque urceolis domus undique frenis, sellis ac lanceis communitur » : Bernardi 1995, p. 678).

Enfin, l’ornementation héraldique de la chapelle ne se limitait vraisemblablement pas aux peintures aujourd’hui visibles. Le récit d’une visite effectuée en 1691 rappelle que « des armoiries dudit sieur commandeur » – à savoir Joseph de Chambes de Monstoreau (d’azur semé de fleurs de lys d’argent au lion de gueules brochant sur le tout), commandeur d’Auzon (comme me signale J.-F. Lavrard) – étaient peintes sur les deux portes qui donnaient sur la sacristie, disparues par la suite, des deux cotés de l’autel (Ducluzeau, Lavrard 2013, p. 67). Ces armes apparaissaient probablement aussi sur l’écusson bûché visible au-dessus de la porte d’entrée de la fuye attenant à la commanderie (J.-F. Lavrard, communication orale). De la visite de 1691 nous apprenons également que les armes de l’Ordre – mais il s’agissait alors plutôt de celles des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem qui prirent possession de la commanderie en 1313 – étaient représentées sur la cheminée de la salle d’assemblée, jadis située à l’étage supérieur du cloître (Treuille 1986, p. 519).

Auteur : Matteo Ferrari

Pour citer cet article

Matteo Ferrari, Châtellerault, commanderie d’Auzon, https://armma.saprat.fr/monument/commanderie-dauzon-chatellerault/, consulté le 16/10/2024.

 

Bibliographie sources

S. Bernardi de laude novae miliatiae ad milites Templi, V, dans V. Mortet-P. Deschamps, Recueil de textes relatifs à l’histoire de l’architecture et à la condition des architectes en France au Moyen-Âge, XIe-XIIIe siècles, Paris 1995 (éd. or. 1911-1929), p. 678.

J. Michelet, Procès des Templiers, I-II, Paris 1841-1851.

A. Teulet (éd.), Layettes du trésor des chartes : de l’année 1224 à l’année 1246, II, Paris 1866.

L. de la Boutetière, « Dons d’hommes au XIIIe siècle en bas-Poitou », dans Archives historiques du Poitou, 1, 1872, p. 80-116.

A. Bardonnet (éd.), « Comptes et enquêtes d’Alphonse, comte du Poitou (1253-1269) », dans Archives historiques du Poitou, 8, 1879, p. 1-160.

Grand armorial de France, VI, Paris 1975 (éd. or. 1949).

Bibliographie études

A. de Longuemar, Les anciens fresques des églises du Poitou, Poitiers 1881.

H. de la Rochebrochard, « Étude sur quelques commanderies des Templiers d’Aquitaine », dans Revue poitevine et saintongeaise, 71, 1889, p. 417-422.

A. Trudon des Ormes, « Étude sur les possessions de l’Ordre du Temple en Picardie », dans Mémoires de la Société des antiquaires de Picardie, s. 4, 2, 1894, p. 75-381.

A. Trudon des Ormes, « Liste des maisons et de quelques dignitaires de l’ordre du Temple, en Syrie, en Chypre et en France d’après les pièces du Procès. VIII. Aquitaine et Poitou », dans Revue de l’Orient latin, 7, 1899, p. 504-527.

J. Salvini, « La commanderie d’Auzon », dans Le Glaneur Châtelleraudais, 19, 1938, p. 11.

F. Eygun, Sigillographie du Poitou jusqu’en 1515, Poitiers 1939.

S. Painter, « The houses of Lusignan and Chatellerault, 1150-1250 », dans Speculum, 30, 1955, p.  374-384.

H. Beauchet-Filleau, Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou, t. 6, Fontenay-le-Comte 1973.

M.-L. Bulst-Thiele, Sacrae domus Militiae Templi Hierosolymitani magister. Untersuchungen zur Geschichte d. Templerordens 1118/19-1314, Göttingen 1974.

H. Treuille, « La commanderie d’Auzon au XVIIème et XVIIIème siècles », dans Bulletin de la Société des Antiquaires de l’Ouest, s. 4, 19, 1986, p. 517-525 (réédité dans Bulletin de la Société des Sciences de Châtellerault, 81, 2000, p. 40-47).

P. Bellin, « Commandeurs d’Ozon », dans Bulletin de la Société des Sciences de Châtellerault, 81, 2000, p. 48-51.

P. Bellin, « Les peintures murales de la commanderie d’Auzon », dans Bulletin de la Société des Sciences de Châtellerault, 81, 2000, p. 52-62.

J.-M. Roger, « La prise de possession par l’Hôpital de la maison du Temple en Poitou et en Bretagne (mai 1313) », dans Templiers et Hospitaliers (XIVe-XVe siècles) (Revue historique du Centre-Ouest, 7, 2, 2008), Poitiers 2009, p. 215-243.

C. Landry-Delcroix, La peinture murale gothique en Poitou, XIIIe-XVe siècle, Rennes 2012.

R. Ducluzeau, J.-F. Lavrard, Templiers et maisons templières en Poitou, La Crèche 2013.

D. Carraz, « Les décors peints dans les chapelles templières en France », dans Histoire antique et médiévale, h.s. 41, 2014, p. 60-67.

< http://www.guillaumedesonnac.com/ >

Photographies du monument

Armoiries répertoriées dans ce monument

Châtellerault, commanderie d’Auzon. Armoirie inconnue (armoirie 1)

D'(or?) au (besant d’argent?).

  • Attribution : Armoirie inconnue
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Nef
  • Emplacement précis : Arc doubleau ; travée IIIème
  • Support armorié : Intrados d'arc
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Peinture murale
  • Période : 1226-1250
  • Dans le monument : Châtellerault, commanderie d'Auzon

Châtellerault, commanderie d’Auzon. Armoirie Renaud de Vichier (armoirie 2)

De vair, à la bande de gueules.

  • Attribution : Vichier, Renaud de
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Nef
  • Emplacement précis : Arc doubleau ; travée IIIème
  • Support armorié : Intrados d'arc
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Peinture murale
  • Période : 1226-1250
  • Dans le monument : Châtellerault, commanderie d'Auzon

Châtellerault, commanderie d’Auzon. Armoirie Ordre du Temple (armoirie 3)

Coupé de sable et d’argent à la croix potencée d’or, chargée d’un écusson d’azur semé de fleurs de lys d’or, brochant sur le tout.

  • Attribution : Chevaliers de l'Ordre du Temple
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Nef
  • Emplacement précis : Arc doubleau ; travée IIIème
  • Support armorié : Intrados d'arc
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Peinture murale
  • Période : 1226-1250
  • Dans le monument : Châtellerault, commanderie d'Auzon

Châtellerault, commanderie d’Auzon. Armoirie inconnue (armoirie 4)

D’argent à trois fasces de sable.

  • Attribution : Armoirie inconnue
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Nef
  • Emplacement précis : Arc doubleau ; travée IIIème
  • Support armorié : Intrados d'arc
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Peinture murale
  • Période : 1226-1250
  • Dans le monument : Châtellerault, commanderie d'Auzon

Châtellerault, commanderie d’Auzon. Armoirie illisible (armoirie 5)

(D’argent ?) …

  • Attribution : Armoirie illisible
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Nef
  • Emplacement précis : Arc doubleau ; travée IIIème
  • Support armorié : Intrados d'arc
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Peinture murale
  • Période : 1226-1250
  • Dans le monument : Châtellerault, commanderie d'Auzon

Châtellerault, commanderie d’Auzon. Armoirie Geoffroy II de Lusignan (armoirie 6)

Fascé d’argent et d’azur (de dix pièces ?) au lion de (gueules ?) brochant sur le tout.

  • Attribution : Lusignan, Geoffroy II de (A la Grande Dent)
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Nef
  • Emplacement précis : Arc doubleau ; travée IIIème
  • Support armorié : Intrados d'arc
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Peinture murale
  • Période : 1226-1250
  • Dans le monument : Châtellerault, commanderie d'Auzon

Châtellerault, commanderie d’Auzon. Armoirie Renaud de Vichier (armoirie 7)

De vair, à la bande de gueules.

  • Attribution : Vichier, Renaud de
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Nef
  • Emplacement précis : Mur ouest ; Mur pignon
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Peinture murale
  • Période : 1226-1250
  • Dans le monument : Châtellerault, commanderie d'Auzon

Châtellerault, commanderie d’Auzon. Armoirie Renaud de Vichier (armoirie 8)

De vair, à la bande de gueules.

  • Attribution : Vichier, Renaud de
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Nef
  • Emplacement précis : Mur ouest ; Mur pignon
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Peinture murale
  • Période : 1226-1250
  • Dans le monument : Châtellerault, commanderie d'Auzon

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