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ARmorial Monumental du Moyen-Âge
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Luçon, cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption

 

Le monastère bénédictin Sainte-Marie de Luçon, que la légende fait remonter aux saints Lucius et Lucia, a été fondé à la fin du VIIe siècle par l’évêque Ansoald de Poitiers et saint Philibert, en parallèle de l’abbaye voisine de Saint-Michel-en-l’Herm et de l’abbaye Saint-Philibert de Noirmoutier (Cartron 2010). Incendié en 853 et en 877 par des raids scandinaves, il est refondé et incendié de nouveau en 1068 par Guy-Geoffroy, comte de Poitiers et duc d’Aquitaine. Une nouvelle abbatiale est construite entre 1091 et 1121 (Blomme 1996, p. 69), dont seul le transept nord est conservé dans l’édifice actuel. L’érection de Luçon en siège épiscopal par le pape Jean XXII le 15 août 1317, en même temps que l’abbaye voisine de Maillezais, marque en effet un tournant dans l’histoire de la fondation religieuse : les chanoines (sécularisés en 1468 seulement) développent un quartier canonial autour de l’église, le chapitre et l’évêque s’enrichissent et peuvent entreprendre de plus grands chantiers de construction et d’aménagement (Réau 2014, p. 33-53), qui se succèdent et modifient la structure de l’abbatiale romane (Crozet 1956 ; Blomme 1996 ; Réau 2014).

La nef de la cathédrale actuelle, classée monument historique en 1906 (base POP), se compose ainsi d’un vaisseau central et de deux bas-côtés à cinq travées construits à la fin du XIIIe ou au début du XIVe siècle. Le transept et le chœur à quatre travées, terminé par un chevet plat, ont été (re)construits au XVe siècle, en même temps que la sacristie au sud de la première travée du chœur (Blomme 1996, p. 69). La cathédrale, reconsacrée le 3 octobre 1523 après la chute et la reconstruction de son clocher, est encore agrandie dans la première moitié du XVIe siècle par l’ajout de cinq chapelles contre le mur sud de la nef (l’une porte le millésime 1548) ; le cloître est construit à la même époque. Pendant les guerres de Religion, l’édifice est pillé à plusieurs reprises, puis le clocher s’effondre à nouveau en 1665, entraînant la première travée de la nef avec lui : il est reconstruit dans le dernier quart du XVIIe siècle, sous l’épiscopat de monseigneur Barillon (1671-1699) (la flèche s’effondre à nouveau en 1847, après le passage d’un ouragan, et est ultérieurement endommagée par la tempête de décembre 1999). Enfin, les deux premières décennies du XVIIIe sont marquées par la construction de cinq chapelles sur le bas-côté nord, puis le chœur est modifié pour installer de nouvelles stalles et un nouvel autel, sans que sa structure générale ne soit changée. De dommages provoqués par des événements naturels découlent les restaurations réalisées dans la seconde moitié du XIXe et au XXe siècle.

À l’extérieur, nous distinguons un seul élément héraldique : aujourd’hui illisible, il se trouve au sommet du mur pignon occidental du transept sud à l’intérieur d’une édicule gotique (armoirie 1). D’après l’abbé de Beauregard au XVIIIe siècle (La Roche-sur-Yon, AD, 1 G 1) et l’abbé du Tressay (1869, t. 1, p. 284), il s’agirait des armes de l’évêque Élie Martineau (ou Martinelli) (1418-1424). Un relevé du relief réalisé par l’architecte Léon Ballereau dans les années 1880 (Robuchon et al. 1892, p. 23) ne permet malheureusement pas de vérifier cette attribution : si la présence d’une crosse et d’une mitre atteste qu’il s’agit bien des armes d’un abbé ou d’un évêque, la tête que l’on voit dans la partie inférieure (une femme voilée ?), surmontée de deux quintefeuilles, demeure énigmatique.

À l’intérieur de la cathédrale les éléments héraldiques se concentrent sur les voûtes. Alors que la nef est totalement dépourvue d’armoiries, tant dans son vaisseau central que dans ses bas-côtés, les clés de voûtes des chapelles de la troisième et de la quatrième travée portent des écus armoriés à trois brochets contournés et posés en fasce (armoiries 2a-b). Les mêmes armes, mais avec les brochets tournés à dextre, sont visibles sur la clé de voûte de la cinquième travée (armoirie 3). Et encore, une autre version de la même armoirie, cette fois avec un seul brochet posé en pal, est visible sur les clés de la première travée du transept nord et de la première travée du chœur (armoiries 4a-b). Ce sont probablement des armes parlantes – « brochet » étant la traduction du latin « lucius » – que nous devons vraisemblablement attribuer non pas à l’évêché de Luçon, qui portera plus tard d’argent à la croix d’azur, au chef de gueules chargé d’une mitre d’or (Paris, BnF, ms. Fr. 32255, p. 1334), mais au chapitre cathédral (Crozet 1956, p. 52). Nous noterons par ailleurs qu’une armoirie au brochet en pal est encore utilisée aujourd’hui par la ville de Luçon (de gueules au brochet d’argent posé en pal).

Les armoiries figurées dans les chapelles du bas-côté sud peuvent être attribuées à la première moitié du XVIe siècle, sous les épiscopats de Louis de Bourbon (1524-1527) et de Milles d’Illiers (1527-1552), constructeurs du cloître dont les chapelles forment l’aile nord. Les armes de Milles d’Illiers auraient d’ailleurs été représentées dans l’une de ces chapelles (armoirie 5), aux côtés de celles du pape Paul III (armoirie 6) et du roi François Ier (armoirie 7) : aujourd’hui disparus, ces trois écus sont mentionnés par le seul René Crozet qui ne précise malheureusement pas la source d’où lui vient l’information (Crozet 1956, p. 52). Si leur existence était prouvée, la construction de cette partie de l’édifice pourrait être placée avec certitude entre 1534 (élection de Paul III) et 1547 (mort du roi).

La clé de la première travée du transept sud et celle de la troisième travée du chœur sont ornées d’armoiries portant un pal et un chevron, accompagnés de quatre trèfles (armoiries 8a-b), que nous pouvons certainement attribuer à l’évêque de Luçon ayant commandé les travaux de réfection de la cathédrale. Certains auteurs les ont attribuées sans aucune preuve à Pierre de la Voyrie, premier évêque de Luçon (1317-1333), sans tenir cependant compte du fait que le chœur et le transept ont été reconstruits seulement au milieu du XVe siècle et sans doute avant 1481 (Crozet 1956, p. 51 ; Blomme 1996, p. 76). Il sera donc intéressant de constater que ces mêmes armes figurent, à la fin du XVe siècle, dans un Bréviaire à l’usage de Luçon (La Roche-sur-Yon, BM, ms. 1, fol. 170v) dans lequel se trouve aussi une note manuscrite du XIXe siècle qui précise que cette même armoirie était représentée à trois reprises dans la cathédrale : dans le chœur et au-dessus des chapelles « Sainte-Marie » et « Saint-Symphorien » (ce troisième écu a donc aujourd’hui disparu : armoirie 8c). Puisque, dans le manuscrit, l’écu armorié d’argent au chevron et au pal de sable, accompagné de quatre trèfles du même est accolé à une crosse, nous sommes certains qu’il porte les armes d’un évêque. L’identité de celui-ci demeure cependant incertaine. René Crozet l’identifiait avec André de La Roche (1451-1461) qui, selon l’hypothèse de l’archiviste diocésain Delhommeau, aurait appartenu à une famille bourbonnaise aux armes d’azur au chevron d’or accompagné de trois trèfles du même (Soultrait 1890, p. 41). L’historien poitevin, qui connaissait pourtant l’armoirie figurée dans le bréviaire du XVe siècle, finit ainsi pour attribuer la présence des quatre trèfles sculptés sur les écus de la cathédrale à une erreur du sculpteur qui aurait également fait passer la crosse devant l’écu et non derrière, d’où la présence d’un « pal » (Crozet 1963). Crozet devait cependant admettre qu’il était impossible de rattacher André de La Roche au lignage bourbonnais. Ayant été, avant sa nomination, prieur de Saint-Étienne-de-Brillouët, petite paroisse proche de Luçon (Archives du Vatican, Reg. Vat. 397), André aurait en effet pu plutôt appartenir à une famille poitevine, mais aucune maison de La Roche n’a porté d’armoiries tréflées en Poitou (Petiet 1911, p. 103).

L’attribution à André de la Roche doit être donc définitivement écartée, tout comme celle aux évêques Nicolas Cœur (1441-1451), frère du financier de Charles VII dont les armes parlantes sont bien connues (Sigilla), et Nicolas Boutaud (1461-1491), dont les armoiries d’argent à trois demi-vols de sable figurent également sur le Bréviaire de Luçon cité plus haut. Les sceaux utilisés par les évêques de Luçon aux XVe siècle permettent d’évacuer d’autres pistes : l’écu tréflé ne correspond ni à Étienne Loypeau (1388-1407, Sigilla), qui entreprit par ailleurs la restauration de la cathédrale abîmée par la guerre (Bourloton 1895), ni à Martin Gouges de Charpaignes (1407-1408, Sigilla), pas plus à Germain Paillard (1408-1418, Sigilla), à Élie Martineau (1418-1424, voir plus haut) ou à Guillaume Goyon (1424-1431, Beauchet-Filleau 1909, p. 221). Par élimination, il nous semble raisonnable d’attribuer l’écu aux trèfles à Jean Fleury (1431-1441), dont les armes ne sont pas connues. Également abbé du monastère de Luçon, qui n’a été sécularisé qu’en 1468, Jean Fleuri lega, par son testament d’août 1441, l’ensemble de ses biens au chapitre, à charge (entre autres demandes) de lui édifier un enfeu dans la cathédrale et d’achever les travaux qu’il y avait entrepris, à savoir une librairie entre le dortoir des moines et la chambre de l’évêque, et une sacristie au sud du chœur (Poitiers, BM, ms. 520-1, p. 452).

L’ écu qui orne la clé de voute de la dernière travée du chœur, au-dessus du maître-autel à baldaquin installé au XVIIIe siècle, a été en revanche martelé et l’armoirie qu’il portait n’est plus lisible (armoirie 9). Dans le bas-côté sud du chœur, la porte menant à la sacristie était peut-être surmontée d’un autre élément héraldique, qui a été cependant retiré au burin et a complètement disparu. La sacristie ayant été commandée par l’évêque Jean Fleury, on serait tenté de placer ses armes au-dessus de cette porte, mais le décor encore en place trahit une reprise bien plus tardive, probablement datant de la fin du XVIIe siècle. Enfin, la porte voisine est surmontée d’une accolade où figure un écu abîmé mais sur lequel on devine encore la présence d’une branche de vigne qui, enroulé autour d’une grappe de raisin, encadre également le relief (armoirie 10). Si le thème eucharistique de la sculpture est évident, il est improbable que la composition figurée sur l’écu soit en lien avec les armes du Christ, qui présentent normalement des formes bien plus articulées. Il n’est pas exclu qu’elle soit dépourvue d’une valeur emblématique et qu’il s’agisse donc d’un simple élément de décor utilisant un écu comme cadre de l’image. Signalons enfin la clé de voute de la chapelle sud de la première travée de la nef, qui porte les armoiries de Charles II Théodore Colet, évêque de Luçon entre 1861 et 1874, puis archevêque de Tours (1874-1883) : d’(azur) à l’agneau au repos d’(argent), surmonté d’une balance d’(or), ainsi que sa devise, « Justitia et pax ».

Plusieurs éléments armoriés se trouvent aussi dans le cloître de l’église.

Auteur : Clément Brusseau

Pour citer cet article

Clément Brusseau, Luçon, cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption, https://armma.saprat.fr/monument/lucon-cathedrale-notre-dame-de-lassomption/, consulté le 05/02/2025.

 

Bibliographie sources

La Roche-sur-Yon, Archives départementales de la Vendée, 1 G 1, Beauregard (abbé de), Catalogue des évêques de Luçon de 1317 à 1699.

La Roche-sur-Yon, Bibliothèque Municipale, ms. 001, Bréviaire de Luçon.

Paris, BnF, ms. Fr. 32255, Charles-René d’Hozier, Armorial général de France, t. 18, Poitiers/2.

Poitiers, BM, ms. 520-1, Dom Fonteneau, Mémoires ou Recueil de diplômes, chartes, notices et autres actes authentiques pour servir à l’histoire du Poitou…, t. LXIV.

Bibliographie études

Beauchet-Filleau Henri et al., Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou, t. 4, Poitiers 1909.

Blomme Yves, « La cathédrale Notre-Dame de Luçon », Congrès archéologique de France, t. 151, Vendée, Paris 1996, p. 69-80.

Bourloton Edgar, « Le pontifical d’Étienne Loypeau, évêque de Luçon (1387-1407) », Revue du Bas-Poitou, 8, 1895, p. 145-161.

Cartron Isabelle, Les pérégrinations de Saint-Philibert. Genèse d’un réseau monastique dans la société carolingienne, Rennes 2010.

Crozet René, « La cathédrale de Luçon », Congrès archéologique de France, t. 114, La Rochelle , Paris 1956, p. 41-55.

Crozet René, « À propos de la date du chœur de la cathédrale de Luçon », Revue du Bas-Poitou, 74, 1963, p. 137-138.

Du Tressay Georges, Histoire des moines et des évêques de Luçon, Paris 1869.

Petiet René, Armorial poitevin, Niort 1911.

Réau Marie-Thérèse, Luçon, ville épiscopale. Urbanisme, architecture et mobilier, Nantes 2014.

Robuchon Jules et al., Paysages et monuments du Poitou, t. 11, Paris 1892.

Soultrait Georges de, Armorial du Bourbonnais, t. 2, Moulins 1890.

Photographies du monument

Armoiries répertoriées dans ce monument

Luçon, cathédrale Notre-Dame. Armoirie Élie Martineau ? (armoirie 1)

De … à … roses de… en chef… ?

  • Timbre : Une mitre ; Une crosse épiscopale/d'abbé
  • Position : Extérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Transept (bras sud)
  • Emplacement précis : Contrefort ; Pignon
  • Support armorié : Édicule
  • Structure actuelle de conservation : Lieu inconnu
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1401-1425
  • Dans le monument : Luçon, cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption

Luçon, cathédrale Notre-Dame. Armoirie du chapitre de la cathédrale (armoirie 2a)

D’(azur) à trois brochets contournés d’(argent) posés en fasce.

  • Attribution : Chapitre de la cathédrale de Luçon
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chapelle latérale
  • Emplacement précis : Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1401-1425 ; 1426-1450
  • Dans le monument : Luçon, cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption

Luçon, cathédrale Notre-Dame. Armoirie du chapitre de la cathédrale (armoirie 2b)

D’(azur) à trois brochets contournés d’(argent) posés en fasce.

  • Attribution : Chapitre de la cathédrale de Luçon
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chapelle latérale
  • Emplacement précis : Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1401-1425 ; 1426-1450
  • Dans le monument : Luçon, cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption

Luçon, cathédrale Notre-Dame. Armoirie du chapitre de la cathédrale (armoirie 3)

D’(azur) à trois brochets d’(argent) posés en fasce.

  • Attribution : Chapitre de la cathédrale de Luçon
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chapelle latérale
  • Emplacement précis : Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1401-1425 ; 1426-1450
  • Dans le monument : Luçon, cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption

Luçon, cathédrale Notre-Dame. Armoirie de la ville de Luçon ? (armoirie 4a)

De (gueules ?) au brochet d’(argent ?) posé en pal.

  • Attribution : Ville de Luçon ; Armoirie restaurée
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Transept (bras nord)
  • Emplacement précis : travée Ière ; Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1801-1900 ; 1901-2000
  • Dans le monument : Luçon, cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption

Luçon, cathédrale Notre-Dame. Armoirie de la ville de Luçon ? (armoirie 4b)

De (gueules ?) au brochet d’(argent ?) posé en pal.

  • Attribution : Ville de Luçon ; Armoirie restaurée
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chœur
  • Emplacement précis : travée Ière ; Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1801-1900 ; 1901-2000
  • Dans le monument : Luçon, cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption

Luçon, cathédrale Notre-Dame. Armoirie d’Illiers ? (armoirie 5)

(D’or à six annelets de gueules ?).

  • Attribution : Illiers Miles (Milon) de
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Inconnue
  • Emplacement précis : Inconnu
  • Support armorié : Inconnu
  • Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
  • Technique : Inconnue
  • Période : 1526-1550
  • Dans le monument : Luçon, cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption

Luçon, cathédrale Notre-Dame. Armoirie Paul III Farnèse (armoirie 6)

(D’or à six fleurs de lis d’azur, disposées 3, 2, 1).

  • Position : Inconnue
  • Pièce / Partie de l'édifice : Inconnue
  • Emplacement précis : Inconnu
  • Support armorié : Inconnu
  • Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
  • Technique : Inconnue
  • Période : 1526-1550
  • Dans le monument : Luçon, cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption

Luçon, cathédrale Notre-Dame. Armoirie roi François Ier (armoirie 7)

(D’azur à trois fleurs de lis d’or).

  • Attribution : François Ier roi
  • Position : Inconnue
  • Pièce / Partie de l'édifice : Inconnue
  • Emplacement précis : Inconnu
  • Support armorié : Inconnu
  • Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
  • Technique : Inconnue
  • Période : 1526-1550
  • Dans le monument : Luçon, cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption

Luçon, cathédrale Notre-Dame. Armoirie Jean Fleury ? (armoirie 8a)

D’(argent ?) à la vergette de (sable ?), au chevron diminué du (même ?) brochant, accompagné de quatre trèfles (du même), deux en chef, deux en pointe.

  • Attribution : Fleury Jean
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Transept (bras sud)
  • Emplacement précis : travée Ière ; Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1426-1450
  • Dans le monument : Luçon, cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption

Luçon, cathédrale Notre-Dame. Armoirie Jean Fleury ? (armoirie 8b)

D’(argent ?) à la vergette de (sable ?), au chevron diminué du (même ?) brochant, accompagné de quatre trèfles (du même), deux en chef, deux en pointe.

  • Attribution : Fleury Jean
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chœur
  • Emplacement précis : travée IIIème ; Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1426-1450
  • Dans le monument : Luçon, cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption

Luçon, cathédrale Notre-Dame. Armoirie Jean Fleury ? (armoirie 8c)

D’(argent ?) à la vergette de (sable ?), au chevron diminué du (même ?) brochant, accompagné de quatre trèfles (du même), deux en chef, deux en pointe.

  • Attribution : Fleury Jean
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chapelle latérale
  • Emplacement précis : Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : Pièce disparue
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1426-1450
  • Dans le monument : Luçon, cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption

Luçon, cathédrale Notre-Dame. Armoirie bûchée (armoirie 9)

De…

  • Attribution : Armoirie bûchée ; Armoirie inconnue
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Chœur
  • Emplacement précis : travée IVème ; Voûte
  • Support armorié : Clef de voûte
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1426-1450
  • Dans le monument : Luçon, cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption

Luçon, cathédrale Notre-Dame. Armoirie inconnue (armoirie 10)

De… au cep de vigne en redorte de…, fruité de…

  • Attribution : Armoirie inconnue
  • Position : Intérieur
  • Pièce / Partie de l'édifice : Bas-côté sud ; Chœur
  • Emplacement précis : Porte
  • Support armorié : Accolade
  • Structure actuelle de conservation : In situ
  • Technique : Sculpture en pierre
  • Période : 1426-1450
  • Dans le monument : Luçon, cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption

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